Participants : Alain Malric - Olivier Coquelet - Alain Faure - Véronique Rieussec - Alain, Solange, William Bondouy - Pierre Bonhomme - Jean-Pierre et Olivier nos accompagnateurs
TPST : 6 h et 6 h
Rédaction de la fiche : Alain Faure
Photos : Olivier Coquelet
On se retrouve tous à l'entrée de la partie touristique pour un breefing sur ces 2 journées.
On monte à l'entrée historique descendue par Casteret au milieu des arbres et fougères. La porte qui n'a pas été ouverte depuis des années résiste. Après de longs efforts sous une pluie diluvienne et une température froide, on abandonne, direction la partie touristique, on va opérer en sens inverse.
On fait des images au passage dans les galeries abandonnées par les touristes à cette époque. A la fin de cette partie on franchit les barrières et allons au balcon des cristaux. une débauche d'aragonites mais la position est inconfortable, plan incliné sécurisé par un câble, difficile de poser un pied photo, les bouquets sont en limite du remplissage, pas grand monde vient ici et on y stationne en petits groupes, on ne peut se croiser. On grimpe ensuite les 40 m du grand puits (sur coulées) pour atteindre les étages supérieurs. Pendant que l'un de nos guides remonte vers la surface pour essayer de débloquer la porte de l'intérieur on attaque nos images dans ces belles galeries. Les Casteret ont gravé leurs noms (1938-1940-1950) ainsi que des opérateurs radio (1° émission radio souterraine en 1942). Pendant la guerre Norbert cacha des documents secrets dans la cavité. On atteint l'étroiture dite du canon, Jean-Pierre revient, il a réussi a débloquer la porte, on ira donc demain. On ressort, direction le gîte pour une soirée "épuisante".
Le lendemain matin on se réveille avec la neige, direction l'entrée historique sous un froid polaire. Cette fois la porte s'ouvre. On descend les 20 m de puits facilités par des échelles fixes, puis on parcourt les belles salles, galeries descendant vers le "canon". Ici pas trop de concrétions fines, plutôt des volumes, des barrières stalagmitiques, des disques mais dans une grande salle présence de gypse sur une paroi.
On termine la journée à nouveau dans la partie touristique au lac, vaste gour où de nombreux "nénuphars" sont suspendus au bout des concrétions. Les reflets et la transparence de l'eau sont exceptionnels. Les touristes ne viennent pas jusqu'ici, ils ne voient que d'en haut. On achève là les 4 journées au total consacrées à Esparros.
2 commentaires:
Alain, tu es mûr pour faire une couverture film +photos, aux picos, red de Toneyo, d'autant, qu'il faudrait en préalable, ouvrir un trou que je connais qui donnerait direct sur les cariocas...gros volumes, calcifiés ou non, Gypse, mirabilite, plus bas actif...., Et en récompense, à soto de salambré, La tienda bar et el vino tinto, olé...
Asturies, Espagne....
,
...Le trou au vaste courant d'air se trouve à côté de la puerta del sol, sous la muraille, 50 m au dessus, là bas, c'est juste dans..
Enregistrer un commentaire