Je vend une combinaison (qui était à une connaissance): "cévennes évasion aven", excellent état, tissus semi-imper, taille L. : 50.00 euros.Une affaire....
Je l'amène à l'assemblée générale.
Riton
jeudi 30 novembre 2017
dimanche 26 novembre 2017
Mains courante quand tu nous tiens.... |
Vielles stat ramplaçant....des vielles dynamiques |
Topo, lévitation sur vasques et montée des eaux en direct
Samedi 25 Novembre 2017
Trou du Chandelier
Participants : Jean-Luc, Henri, Dom, Laurent
TPST : 9h30
Arrivés sous une pluie battante, le début de matinée est consacré au ré-aménagement du parking avec pelles, pioches et brouette. Cette fois devrait être la dernière...
Ensuite, on se divise sous terre en deux binômes : Jean-Luc et Henri continuent le contournement des vasques (équipement fixe), pendant qu'avec Dom nous partons poursuivre la topo en direction du fond.
La première partie du réseau demande plus d'efforts que d'habitude pour éviter l'eau mais on parvient encore à tout franchir à sec. On sait à présent que par débordements successifs des gours, tout va finir par se remplir jusqu'au niveau d'équilibre bien matérialisé sur les parois.
Il semble cependant possible, moyennant travaux, de tout éviter par mains courantes et fils clairs, en restreignant la zone de navigation obligatoire à une cinquantaine de mètres.
On verra au fur et à mesure...
Nous démarrons la topo à "la piscine" et enchaînons 740m de relevés jusqu'à la grande galerie des blocs suspendus. L'ambiance est vraiment belle dans la deuxième partie également, avec de nombreux nouveaux gours et petits lacs à l'eau bleue-verte qui agrémentent le parcours sans pour autant le stopper.
Par exemple, au pied de "la cascade" de 7m, la corde trempe dans un profond bassin d'une vingtaine de mètres de long pour 2m de fond par endroit...
Comme souvent en topo, les observations minutieuses permettent de nouvelles découvertes.
La moisson du jour : d'admirables planchers anciens suspendus, un gisement de gypse poussant sur une roche noirâtre intercalée dans le calcaire, des cristaux triangulaires et rectangulaires dans un joli gour, et cerise sur le gâteau; deux squelettes de chauve souris distants de 2m et en partie calcités (alors que nous avons 200m de rocher sur la tête à 2km de l'entrée). Nouvelle énigme...
Arrêt topo à 18h. Sur le chemin du retour, nous remarquons une augmentation du débit des arrivées depuis le matin.
Au niveau de l'aplomb du franchissement de la vallée sèche de surface, le bruit se fait plus fort : ce sont une multitude de cascades qui arrivent, se canalisent en actif au sol puis sont recapturées par de petits méandres au ras du sol. Quelques heures de pluie suffisent donc à présent pour qu'une réaction se déclenche.
Nous rejoignons Jean-Luc et Henri qui aménagent l'ancien terminus de la première partie. En aval, plus de captures : tous les actifs déboulant du plafond se donnent en spectacle et alimentent directement les gours et bassins, qui se déversent les uns dans les autres et dont les niveaux augmentent à vue d'oeil. Une petite crue en direct...
Sortie malgré tout sans encombres à 20h30.
Trou du Chandelier
Participants : Jean-Luc, Henri, Dom, Laurent
TPST : 9h30
Arrivés sous une pluie battante, le début de matinée est consacré au ré-aménagement du parking avec pelles, pioches et brouette. Cette fois devrait être la dernière...
Ensuite, on se divise sous terre en deux binômes : Jean-Luc et Henri continuent le contournement des vasques (équipement fixe), pendant qu'avec Dom nous partons poursuivre la topo en direction du fond.
La première partie du réseau demande plus d'efforts que d'habitude pour éviter l'eau mais on parvient encore à tout franchir à sec. On sait à présent que par débordements successifs des gours, tout va finir par se remplir jusqu'au niveau d'équilibre bien matérialisé sur les parois.
Il semble cependant possible, moyennant travaux, de tout éviter par mains courantes et fils clairs, en restreignant la zone de navigation obligatoire à une cinquantaine de mètres.
On verra au fur et à mesure...
Nous démarrons la topo à "la piscine" et enchaînons 740m de relevés jusqu'à la grande galerie des blocs suspendus. L'ambiance est vraiment belle dans la deuxième partie également, avec de nombreux nouveaux gours et petits lacs à l'eau bleue-verte qui agrémentent le parcours sans pour autant le stopper.
Par exemple, au pied de "la cascade" de 7m, la corde trempe dans un profond bassin d'une vingtaine de mètres de long pour 2m de fond par endroit...
Comme souvent en topo, les observations minutieuses permettent de nouvelles découvertes.
La moisson du jour : d'admirables planchers anciens suspendus, un gisement de gypse poussant sur une roche noirâtre intercalée dans le calcaire, des cristaux triangulaires et rectangulaires dans un joli gour, et cerise sur le gâteau; deux squelettes de chauve souris distants de 2m et en partie calcités (alors que nous avons 200m de rocher sur la tête à 2km de l'entrée). Nouvelle énigme...
Arrêt topo à 18h. Sur le chemin du retour, nous remarquons une augmentation du débit des arrivées depuis le matin.
Au niveau de l'aplomb du franchissement de la vallée sèche de surface, le bruit se fait plus fort : ce sont une multitude de cascades qui arrivent, se canalisent en actif au sol puis sont recapturées par de petits méandres au ras du sol. Quelques heures de pluie suffisent donc à présent pour qu'une réaction se déclenche.
Nous rejoignons Jean-Luc et Henri qui aménagent l'ancien terminus de la première partie. En aval, plus de captures : tous les actifs déboulant du plafond se donnent en spectacle et alimentent directement les gours et bassins, qui se déversent les uns dans les autres et dont les niveaux augmentent à vue d'oeil. Une petite crue en direct...
Sortie malgré tout sans encombres à 20h30.
lundi 20 novembre 2017
Le Chandelier prend l'eau, mais ça passe
Dimanche 20 novembre 2017
Trou du Chandelier
Participants : Alain M., Jean-Luc, Julie, Dom, Denis
Photos : Julie
Plusieurs objectifs pour cette sortie : découvrir le trou pour Alain, repérer l'état aquatique de la 1ère partie (il a plu 60 mm 2 semaines plus tôt), équiper ce qui peut l'être, faire une escalade que Dom avait repérée au début de 2è partie.
Descente à 10h30 pour une fois sans stress dans la trémie (beau travail les gars). Le puits a aussi été aménagé "grand luxe" : grosse corde, lames enlevées, merci Henri.
En bas, le début est sec (100 m environs), puis on a vite la sensation d'être dans un grand bateau qui a pris l'eau...C'est impressionnant et magnifique, une nouvelle cavité s'ouvre à nous. On cherche son passage à hauteur de bottes, comme à Cabrespine, sur plusieurs tronçons. L'ambiance est la même qu'à Cabrespine, mais la comparaison s'arrête là : le sol boueux est glissant et très irrégulier, des bosses masquent des creux profonds, les rebords des parois s’effondrent au passage... Et si le 1er peut voir la profondeur, les suivants n'ont droit qu'à une eau boueuse. Au fait, qui n'est pas passé à l'eau dans ce trou ??? Donc la question d'équiper des passages même "faciles" ne s'est pas posée longtemps (le temps d'une glissade...).
- Equipement du passage décrit par Henri au début : 8m.
- 2è main courante retendue pour ne pas se mouiller les fesses.
- Corde pour jonctionner la Vire : 3m. Main courante de la Vire retendue au max. (l'eau est 10cm au dessus de la Vire).
- Corde ascendante avant la 1ère soufflerie : 8m.
La 1ère soufflerie est sans eau.
- Après la soufflerie, de mémoire il y a 2 mains courantes. Après mangé (13h30), on en a équipée une 3è : 15m, avec un passage délicat en dévers.
Puis plus de problème jusqu'au terminus 1. Long passage sec. Passage supérieur sur cordes, Boîte aux lettres : 20cm d'eau sur les blocs mais ça passe au sec.
Avant la Piscine : gours au ras des bottes, passages en équilibre. Jean-Luc, Julie et Alain s'arrêtent là vers 15h30.
Piscine : 30cm de plus (idéal pour les plongeons :-))
A 16h on est en haut du passage équipé de marches qui montent avant de redescendre derrière la grosse coulée. On est bien entamés, avec nos kits lourds. Je propose à Dom d'escalader la coulée qui a l'air facile : au dessus, on voit un départ de 6m de large...
Après 5 m en libre, je me rends compte que la coulée est pourrie : le perfo rentre dedans comme dans du beurre mouillé. Un lancer 5 m plus haut finit par attraper 2 belles stalagmites. Remontée en se faisant léger... j'arrive à un palier. La coulée se prolonge moins raide et me cache le passage. La paroi de gauche est en dévers, mais heureusement en vrai rocher (hyper dur d'ailleurs) : 2 goujons + 1 nat plus haut, après des contorsions éprouvantes sur étriers et un rétablissement sur des prises terreuses, j'atteins le haut de la coulée : elle est bouchée !! 22m d'escalade pour ça ! Je redescends comme je suis monté pour récupérer le matériel, puis rappel sur grosse colonne.
18h : Le retour en faisant les équilibristes dans les gours est aussi éprouvant. Seule consolation, on sort plus propre ! 19h30 bas du puits, 20h en haut. Jean-Luc nous a attendu en mode survie dans le trou voisin : il est prêt pour les futurs bivouacs...
TPST : 9h30
Trou du Chandelier
Participants : Alain M., Jean-Luc, Julie, Dom, Denis
Photos : Julie
Plusieurs objectifs pour cette sortie : découvrir le trou pour Alain, repérer l'état aquatique de la 1ère partie (il a plu 60 mm 2 semaines plus tôt), équiper ce qui peut l'être, faire une escalade que Dom avait repérée au début de 2è partie.
Descente à 10h30 pour une fois sans stress dans la trémie (beau travail les gars). Le puits a aussi été aménagé "grand luxe" : grosse corde, lames enlevées, merci Henri.
En bas, le début est sec (100 m environs), puis on a vite la sensation d'être dans un grand bateau qui a pris l'eau...C'est impressionnant et magnifique, une nouvelle cavité s'ouvre à nous. On cherche son passage à hauteur de bottes, comme à Cabrespine, sur plusieurs tronçons. L'ambiance est la même qu'à Cabrespine, mais la comparaison s'arrête là : le sol boueux est glissant et très irrégulier, des bosses masquent des creux profonds, les rebords des parois s’effondrent au passage... Et si le 1er peut voir la profondeur, les suivants n'ont droit qu'à une eau boueuse. Au fait, qui n'est pas passé à l'eau dans ce trou ??? Donc la question d'équiper des passages même "faciles" ne s'est pas posée longtemps (le temps d'une glissade...).
- Equipement du passage décrit par Henri au début : 8m.
1er passage |
On marche sur l'eau |
- 2è main courante retendue pour ne pas se mouiller les fesses.
- Corde pour jonctionner la Vire : 3m. Main courante de la Vire retendue au max. (l'eau est 10cm au dessus de la Vire).
Gour de la Vire (à g.). Ces pantalons ont l'air mouillés... |
Début de la vire |
La Vire avec 2m d'eau |
Au bout de la Vire |
Jean-Luc |
- Corde ascendante avant la 1ère soufflerie : 8m.
Dom et Alain |
La 1ère soufflerie est sans eau.
- Après la soufflerie, de mémoire il y a 2 mains courantes. Après mangé (13h30), on en a équipée une 3è : 15m, avec un passage délicat en dévers.
Passage du dévers |
Puis plus de problème jusqu'au terminus 1. Long passage sec. Passage supérieur sur cordes, Boîte aux lettres : 20cm d'eau sur les blocs mais ça passe au sec.
Avant la Piscine : gours au ras des bottes, passages en équilibre. Jean-Luc, Julie et Alain s'arrêtent là vers 15h30.
Piscine : 30cm de plus (idéal pour les plongeons :-))
A 16h on est en haut du passage équipé de marches qui montent avant de redescendre derrière la grosse coulée. On est bien entamés, avec nos kits lourds. Je propose à Dom d'escalader la coulée qui a l'air facile : au dessus, on voit un départ de 6m de large...
Après 5 m en libre, je me rends compte que la coulée est pourrie : le perfo rentre dedans comme dans du beurre mouillé. Un lancer 5 m plus haut finit par attraper 2 belles stalagmites. Remontée en se faisant léger... j'arrive à un palier. La coulée se prolonge moins raide et me cache le passage. La paroi de gauche est en dévers, mais heureusement en vrai rocher (hyper dur d'ailleurs) : 2 goujons + 1 nat plus haut, après des contorsions éprouvantes sur étriers et un rétablissement sur des prises terreuses, j'atteins le haut de la coulée : elle est bouchée !! 22m d'escalade pour ça ! Je redescends comme je suis monté pour récupérer le matériel, puis rappel sur grosse colonne.
18h : Le retour en faisant les équilibristes dans les gours est aussi éprouvant. Seule consolation, on sort plus propre ! 19h30 bas du puits, 20h en haut. Jean-Luc nous a attendu en mode survie dans le trou voisin : il est prêt pour les futurs bivouacs...
TPST : 9h30
Samedi 18 novembre 2017 sortie photo-vidéo
TRAOUC DE L'EMBUC / CABRESPINE
Participants : Alain A., Didier B., Alain et William B., Pierre B., Olivier C., Alain F.
TPST : 6h ; sortie vidéo - photos
Participants : Alain A., Didier B., Alain et William B., Pierre B., Olivier C., Alain F.
TPST : 6h ; sortie vidéo - photos
Nous revenons dans cette belle cavité faire un complément de photos et d'images HD. Début des descentes à 9H, quelques séquences vidéo dans les puits, 10h tout le monde est en bas.
Photo et vidéo salle du bas, la remontée, le lustre d'aragonite, la Tour de Pise, le Boyau Touffu, les Petits Baigneurs (toujours même niveau d'eau). Casse-croûte et continuation vers la Craquette en poursuivant le travail sur les innombrables bouquets d'aragonites coralloïdes et autres excentriques. Toujours un pur bonheur, Alain et Didier qui ne connaissaient pas sont ravis. Vers 14h30 début du retour et des remontées sans trop de problèmes, l'équipement du puits "embuc" est top et permet de ne pas trop coincer. Vers 17h on est tous dehors en bon état. Quelques photos d'Olivier (compressées)
Samedi 18 Novembre 2017 l'après-midi: Solo au Capdeville.
Pour aller rechercher mon appareil oublié le 12....Le niveau de l'eau à nettement augmenté.
Sans traîner, mais sans courir, TPST de 2H10.....Seul, l'on ce rend encore plus compte que Cabrespine...est très glissant! Dans la boutique le sourire lumineux de Marion fait oublier le sentiment d'avoir un peu perdu son temps....
Dimanche 19 Novembre 2017: Sortie d'initiation à la grotte du Cimetière à Sallèles Cabardés.
Sortie à l'origine pour le seul Kemo, fils d'Olivier. S'y sont rajouté: Chantal, compagne d'Olivier, Mouchine collègue de Pierre, James un anglais habitant Limoux, les deux jeunes: Aurore et Florian amis de Denis. Et pour m'aider à l'encadrement: Eric, venu avec sa moto, Olivier et Pierre.
Soit quand même 10 personnes au total.
Comme d'habitude petite séance des principes de bases dans l'atelier du porche. Puis dans la grotte pas moins de....9 ateliers. Variés et plaisants. Tous ce débrouillent à merveille. Et un satisfaiçit supplémentaire pour le petit Kemo. La spéléo est vraiment une affaire de famille...Ainsi que pour le très bon encadrement de Eric, qui a bien intégré les apprentissages du stage départemental..Mouchine couvreur pro, est plus qu'à laisse sur cordes. Florian sensible au milieu. Et le taciturne James (logique puis qu'il parle très peu la langue de Molière...) a un profil très spéléologique....L'on a la visite amicale de Mr André.
Comme l'on a beaucoup tourné sur cordes, pas le temps de faire la partie médiévale.
TPST de 6H30 avec le casse croûte au soleil.
Pour aller rechercher mon appareil oublié le 12....Le niveau de l'eau à nettement augmenté.
Sans traîner, mais sans courir, TPST de 2H10.....Seul, l'on ce rend encore plus compte que Cabrespine...est très glissant! Dans la boutique le sourire lumineux de Marion fait oublier le sentiment d'avoir un peu perdu son temps....
Dimanche 19 Novembre 2017: Sortie d'initiation à la grotte du Cimetière à Sallèles Cabardés.
Farc sur AN......une situation d'explo..... |
Atelier conversions pour Kémo et Florian |
L'atelier du porche |
Kémo |
André Capdeville....une légende vivante.... |
Dimanche 12 Novembre 2017: Accompagnement Cabrespine avec des spéléos toulousains.
Du SC Epia et du SC Airbus: Agnès, Pascal, Sandro ("frésouille"), Bernard ( "Dino"), Alexandre ("cousin").Avec l'aide d'Eric ("géronimo"). Pour une fois le rythme n'est pas "escargotier"car ce sont de vrais spéléos. Un peu du genre blasés, mais qui apprécient quand même le festival de concrétions du Capdeville ou l'on vas finalement. Car les dômes ils connaissaient déjà....
En allant zieuter la trémie, je pose mon appareil photo....et oublie de le reprendre....
Retour sans problèmes, même si je trouve le débit de la rivière bien véloce malgré l'assèchement de la Clamoux. TPST:6H30
Du SC Epia et du SC Airbus: Agnès, Pascal, Sandro ("frésouille"), Bernard ( "Dino"), Alexandre ("cousin").Avec l'aide d'Eric ("géronimo"). Pour une fois le rythme n'est pas "escargotier"car ce sont de vrais spéléos. Un peu du genre blasés, mais qui apprécient quand même le festival de concrétions du Capdeville ou l'on vas finalement. Car les dômes ils connaissaient déjà....
En allant zieuter la trémie, je pose mon appareil photo....et oublie de le reprendre....
Retour sans problèmes, même si je trouve le débit de la rivière bien véloce malgré l'assèchement de la Clamoux. TPST:6H30
vendredi 17 novembre 2017
vendredi 10 novembre 2017
Vendredi 10 Novembre 2017: Amélioration et coup d'oeil au Chandelier.
Sortie solo. Ou tout d'abord je croise le terrassier, peu aimable, qui viens "d'améliorer" la piste d'accès au terre plein devant le Blau., et n'a rien trouvé de mieux que d'y répandre une espèce de remblais, mélange de terre et cailloux, bien mou, et qui nous interdit définitivement de monter à notre parking avec autre chose qu'un 4X4!Merci, il n'y a pas de quoi! Et a évidemment massacré notre terre plein avec son engin puant....Ce dernier point est améliorable en ratissant.Je m'abstiendrais d'un autre commentaire....parce que je vais être censuré!
Je confirme que ça bien bien coulé en surface récemment: les feuilles ont été labourée sur le chemin.
Très forte aspiration glaçante à l'entrée. Équipement en corde du deuxième ressaut, en prévision de la sortie du 19: 1 AF (amarrage foré) et un spit, un bout de corde. Pose dans le puits de la corde de 68M, coupée et marquée expré. En bon gros diamètre extrêmement confortable. Parcours vers l'amont jusqu'à la vasque alimentée par une pissette paroie gauche. Je ne vais pas jusqu'à la partie profonde, ne pouvant pas franchir un rebord de gour très glissant. Mais en zoomant je vois bien de notre "gour de 200m" est désormais bien en eaux. Il seras peut être franchissable, mais en ce mouillant copieusement!
Il me viens à l'idée, mais la discussion est ouverte, que ça serais certainement possible de le vidanger dans le sol vaporeux de la première salle....Un système de vases communiquant amorcé par une pompe à bras??Je me trompe peut être, mais il me semble que la première salle est légèrement en contrebas. Il est vrai qu'à ce jour nous ne sommes pas aux niveaux maxi de remplissage, mais il me semble que ça ne devrais être que le seul obstacle à améliorer.....pour continuer les explos, avec le niveau actuel!
A réfléchir....
TPST:2H.
Sortie solo. Ou tout d'abord je croise le terrassier, peu aimable, qui viens "d'améliorer" la piste d'accès au terre plein devant le Blau., et n'a rien trouvé de mieux que d'y répandre une espèce de remblais, mélange de terre et cailloux, bien mou, et qui nous interdit définitivement de monter à notre parking avec autre chose qu'un 4X4!Merci, il n'y a pas de quoi! Et a évidemment massacré notre terre plein avec son engin puant....Ce dernier point est améliorable en ratissant.Je m'abstiendrais d'un autre commentaire....parce que je vais être censuré!
Je confirme que ça bien bien coulé en surface récemment: les feuilles ont été labourée sur le chemin.
Très forte aspiration glaçante à l'entrée. Équipement en corde du deuxième ressaut, en prévision de la sortie du 19: 1 AF (amarrage foré) et un spit, un bout de corde. Pose dans le puits de la corde de 68M, coupée et marquée expré. En bon gros diamètre extrêmement confortable. Parcours vers l'amont jusqu'à la vasque alimentée par une pissette paroie gauche. Je ne vais pas jusqu'à la partie profonde, ne pouvant pas franchir un rebord de gour très glissant. Mais en zoomant je vois bien de notre "gour de 200m" est désormais bien en eaux. Il seras peut être franchissable, mais en ce mouillant copieusement!
Il me viens à l'idée, mais la discussion est ouverte, que ça serais certainement possible de le vidanger dans le sol vaporeux de la première salle....Un système de vases communiquant amorcé par une pompe à bras??Je me trompe peut être, mais il me semble que la première salle est légèrement en contrebas. Il est vrai qu'à ce jour nous ne sommes pas aux niveaux maxi de remplissage, mais il me semble que ça ne devrais être que le seul obstacle à améliorer.....pour continuer les explos, avec le niveau actuel!
A réfléchir....
TPST:2H.
dimanche 5 novembre 2017
Journée grillade à L'Escale
Samedi 04 Novembre 2017
Trou du Chandelier
Participants : Jean-Luc, Henri, Christophe, Etienne, Laurent
TPST : 7h
Vous y avez cru ?
Eh bien non !
On devrait peut être y penser à l'occasion mais là c'était journéegrillade grillage !
Parce que le gros ventre, c'est la trémie qui l'avait au sommet du ressaut, pas nous...
On se devait donc de purger tout ça sans démolir la structure de sécurité mise en place et accessoirement sans se faire ensevelir.
Mais les défis techniques, on connaît ça par coeur au Chandelier.
On a donc mis en place un système d'échafaudage sommaire en bois pour pouvoir travailler assis, ainsi qu'un système de renvoi-frein de charge pour descendre les gamattes jusqu'au puits parallèle à sacrifier plus bas pour le stockage.
A nouveau le ballet de gamattes a repris dans la zone d'entrée du trou, mais cette fois à l'envers...
Plus bas, ça stocke.
Et pour se réchauffer (et aussi par déformation professionnelle il faut bien le dire), Etienne a entrepris les travaux d'aménagement touristique au départ du grand puits.
Bref, du travail un peu rébarbatif mais largement compensé par les nombreuses co...ries débitées tout au long de la journée.
Tout se passera comme prévu à part un effondrement secondaire inattendu de terre au dernier moment, et qui laissera Christophe, pourtant aux premières loges, stoïque...
Au final, on a retendu le grillage avec des goujons supplémentaires, en espérant ne pas avoir à renouveler l'opération trop souvent.
A noter que dans la matinée, les premiers arrivés ont également fait un sacré boulot de réhabilitation des places de parking qui avaient été bousillées par le bulldozer.
Ca évite à nouveau d'aller se garer au parking géant du trou du vent.
Trou du Chandelier
Participants : Jean-Luc, Henri, Christophe, Etienne, Laurent
TPST : 7h
Vous y avez cru ?
Eh bien non !
On devrait peut être y penser à l'occasion mais là c'était journée
Parce que le gros ventre, c'est la trémie qui l'avait au sommet du ressaut, pas nous...
Ventre de bouillasse gonflé, presque plus de place pour passer ! |
Mais les défis techniques, on connaît ça par coeur au Chandelier.
On a donc mis en place un système d'échafaudage sommaire en bois pour pouvoir travailler assis, ainsi qu'un système de renvoi-frein de charge pour descendre les gamattes jusqu'au puits parallèle à sacrifier plus bas pour le stockage.
Système de renvoi en haut du ressaut. Jean-Luc est sur descendeur par sécurité |
Plus bas, ça stocke.
Et pour se réchauffer (et aussi par déformation professionnelle il faut bien le dire), Etienne a entrepris les travaux d'aménagement touristique au départ du grand puits.
Aïe ! Christophe est arrivé trop vite sur le grillage... |
Tout se passera comme prévu à part un effondrement secondaire inattendu de terre au dernier moment, et qui laissera Christophe, pourtant aux premières loges, stoïque...
Fin de journée, l'excédent est enfin vidé |
Dernières réparations... |
Et c'est reparti pour un tour... |
A noter que dans la matinée, les premiers arrivés ont également fait un sacré boulot de réhabilitation des places de parking qui avaient été bousillées par le bulldozer.
Ca évite à nouveau d'aller se garer au parking géant du trou du vent.
Notre parking réhabilité |
mercredi 1 novembre 2017
Le royaume de la mousse |
Après le dessous, le dessus. Au Sarrat de l'Etreuil et la vallée sèche au Sud du Chandelier.
Superbissime après-midi d'automne. Plus de rous
Donc un très beaux départ de trou: tube vertical bouché par la terre à -3.
Je n'ai évidemment pas tout vue. Mais je pense que le courant d'air du Chandelier ne viens pas de loin mais...de très loin!Car en amont de ce poljé c'est la pénéplaine ultra colmaté du plateaux!
C'est la magie de la prospection et sur un massif calcaire d'avoir une vision d'ensemble....Ici le potentiel du Chandelier donne le tournis!!!a l'ouest du carrefour 857m et face au panneaux indiquant le refuge du maquis, très beaux départ colmaté derrière des épineux. mais semblant s'ouvrir dans du gréso-calcaire.
TPES:4H
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