jeudi 27 février 2025

Disparition: Je viens d'apprendre la disparition la semaine dernière de Serge Vila à 73 ans, membre éminent du Club Alpin et Pyréneiste de l'Aude et ancien membre du CLUB. Et surtout l'un des pionniers de Cabrespine au coté de Jean Guiraud et quelques autres. Je ne l'avais pas connu dans ce cadre ancien, mais dans les années 80, en tant que pionnier du site d'escalade des gorges de Pierre Lys. A la fin de cette décénie, j'avais entre autre équipé avec lui l'impressionante voie "Elodie mélodie"du nom de sa fille, toute jeune à l'époque.4 longueurs, cotation TD.Ainsi que des sorties de ski-alpinisme. De beaux souvenirs... Un gars discret, mais passionné. Qui ne parlait pas beaucoup, mais auprès de qui l'on se sentait bien. Et comme nos activités sont aussi une histoire d'amitié, il restera dans nos mémoire et dans nos coeurs.

mardi 25 février 2025

Aven de la Pleine lune

Lundi 24 février 2025

Participants : Henri, Léo, Rowland, Gilles

TPST : 6h30 / Aven de la Pleine Lune, massif de Missègre

Cela faisait un moment que j'entendais parler de ce trou depuis mon entrée au club. Une discussion avec Pierre du SCM qui souhaite le visiter a fait accélérer les choses. Laurent me passe la topo, Henri la fiche d'équipement. Il n'y avait plus qu'à choisir le jour.

Nous nous retrouvons à 9h à Limoux puis prenons la direction de Villardebelle, à quelques centaines de mètres du chant du Loup. Après une marche d'approche d'une quinzaine de minutes, nous sommes à pied d'œuvre. 

Henri nous montre l'entrée historique et nous explique comment l'entrée actuelle a été découverte depuis l'intérieur. Encore une fois la topo extrêmement précise de Laurent a été décisive.

Nous rentrons vers 10h45. En bas du vaste puits d'entrée nous descendons sur de belles coulées de calcite oranges. 

Jolie ambiance en bas du puits d'entrée

On enchaîne avec le puits de Perles (attention à ne pas marcher dessus en bas...), le puits de la jonction. On est alors à -70 m environ, c'est là qu'on jonctionne avec l'entrée historique. 
On poursuit avec le puits des Loirs, dont le nom trouve son origine dans le fait qu'Henri est tombé nez à nez avec des loirs en première ! Une faille remontante à cet endroit explique probablement leur présence. 

Le dernier puits de la partie classique est atteint après un passage dans la première turbine, comprenez un boyau agrandi dans lequel on sent un fort courant d'air. 
Quelle surprise de trouver en tête du puits de la piscine deux plaquettes et deux mousquetons à Félix ! Il ont visiblement été oubliés lors de la visite de décembre 2021 par celui qui a déséquipé... Heureusement les plaquettes en place sortent facilement pour placer les miennes. 

Nous arrivons à la fin de la partie classique, matérialisée par la piscine gonflable amenée par Henri pour nettoyer le matériel pourri par le fond à l'époque des explos. 


Gravure faite par une personne qu'Henri avait amené en initiation

À partir d'ici, on attaque la partie non classique. Au bout de quelques mètres on tombe sur un premier ressaut que j'équipe avec une C10 de rab. Les spits sont en bon état, je parviens à les récupérer totalement avec un taraud. 
À peine plus loin, un passage en opposition semble assez dangereux, il y a de quoi équiper : un spit, une plaquette artisanale made in Riton. Problème : il ne me reste qu'une corde 10 m en 6 mm, pas l'idéal pour une main courante. Du bricolage à l'équipement, j'aime ça ! Finalement je parviens à équiper en sécurité, on peut toujours se maintenir en tension sur la corde en ne passant pas par l'itinéraire facilité par des marches métalliques rivées à la paroi. La main courante se termine par deux spits, quel luxe !

Henri sur une main courante en 6 mm !!!!! 😁

Nous abandonnons nos baudriers, la suite semble étroite. D'abord un méandre, puits un ressaut à désescalader nous mène dans la deuxième turbine à la sortie de laquelle on se trouve dans une galerie confortable. Arrive alors la troisième turbine, plus pénible à passer que les autres. Il faut se retourner en haut de celle-ci pour aborder la descente les pieds en avant. Rowland n'y parvient pas, Léo le réceptionne la tête en avant. 
Les joyeusetés se poursuivent par une sortie d'un boyau la tête en avant dans un R2. Je m'en sors, en revanche Henri préfère repartir, faire demi-tour pour l'aborder les pieds en avant.
Nous poursuivons, l'espoir d'atteindre le sommet de la salle des Catalans se dessine... mais nous butons sur un R4 que la prudence nous incite à ne pas désescalader. Mince !! Deux beaux spits me tendent pourtant les mains... mais je n'ai plus de corde. Ce sera pour une autre fois (peut-être). 

Henri se jure de ne plus jamais remettre les pieds dans cette partie. Il faut dire qu'elle ne revêt pas un grand intérêt si ce n'est celui de se rendre compte du travail accompli par le club. Malheureusement la suite tant espérée n'a jamais été trouvée.

Nous prenons la direction de la surface.

Le bizutage de Rowland

Le boyau à deux mètres du sol

Léo se charge intégralement du déséquipement. 

À 17h15 nous sommes déjà dehors, à notre grand étonnement.

Trou des Vent d'Anges

Samedi 22 février 2025

Participants : Camille, Odile, Rowland, Pascal, Damien, Manu, Gilles

TPST : 6h / Trou des Vents d'Anges

Une classique toujours aussi sympa. L'occasion pour les nouveaux du club de réviser les techniques de progression sur cordes.
Notre objectif du jour était la salle des Tuniques bleues.
Odile est un peu fatiguée à la montée, j'en profite pour réviser la manip d'auto-secours et la remonte dans le P15.
La journée s'est terminée au bar des platanes à Caunes.

Quelques photos de Pascal.









 

dimanche 23 février 2025

Nouvelle avancée au CDL

Samedi 22/02/2025

Réseau du Chant du Loup

Participants : Henri, Laurent

TPST : 8h 


On avait prévu de la grosse désob, mais après essais à la maison il faut changer le mandrin du perfo.
Pour la sortie du week end, ce sera donc reconnaissance dans la suite du réseau et topo dans la foulée.

A la descente on amène une dizaine de marches et une échelle fabriquée spécialement par Henri pour le bas du ressaut en bouteille.

Nous arrivons ensuite à l'ancien terminus, que nous franchissons par le shunt d'Alary, boueux mais pas étroit.
La suite est belle et nous tend les bras...


A noter une chauve souris solitaire qui nous rend visite depuis une cheminée avec un bel écho, on est pourtant loin de la surface (-150m). Il faudra quand même aller voir.

La galerie reprend vite une direction ouest - sud-ouest et se dédouble.
Dans le cours inférieur, on retrouve l'ancien lit de rivière et ses galets, ainsi que le sol calcité parsemé de gours :

Au-dessus, une ancienne conduite forcée se développe en parallèle. Le sol est parfois terreux, parfois concrétionné. La largeur atteint les 10m par endroits.


 



Vers l'aval, cours inférieur et galerie sup se réunissent puis bifurquent à nouveau. La suite du supérieur part dans une conduite forcée que l'on atteint après une petite traversée à équiper. Il y a du courant d'air, arrêt sur toboggan calcité remontant mais il faudra s'assurer pour aller voir.

Vers la suite aval de la galerie fossile, roche noire et polie


Dans le cours inférieur, on peut progresser plus loin : après le franchissement d'une voûte relativement basse, la galerie est parsemée de bassins esthétiques.


La pente globale reste très stable, puis nous nous arrêtons sur un obstacle plus sérieux : un bloc de plusieurs tonnes en travers du passage d'une diaclase assez haute. Il y aurait moyen de le shunter par une escalade, mais ce frein tombe à pic pour que nous ne soyons pas tentés de filer trop loin.
Valider cette nouvelle partie en topo sera donc la mission du jour...

Avant de commencer nous testons le point bas au ras de la calcite et de l'eau, et un écho important mais lointain se fait entendre. Aucun signe de mise en charge, jusqu'ici tout va bien...

La topo est l'occasion d'admirer quelques jolis recoins.

Calcite flottante

 
Il y même un peu d'aragonite


Marmite perchée sur un bloc


Il y a d'autres trucs sympas, dont une dentelle de calcite du plus bel effet, mais la batterie de la goporo rend subitement l'âme.


Nous validons 260 nouveaux mètres de première/topo, dans une partie plus volumineuse globalement que précédemment.
La cavité passe à 1570m topographiés, pour environ 1800m rééls.
Le profil en pente régulière et stable de la rivière fossile se poursuit, ainsi que la direction O - SO.

Environ la moitié du parcours jusqu'à la vallée de Ferrières et la perte de St Andrieu est à présent connu.


Au retour, inventaire des aménagements ponctuels à prévoir pour augmenter la sécurité et économiser l'énergie, dans l'optique de sorties longues dans un avenir pas très lointain si ce profil se poursuit.

jeudi 20 février 2025

Galerie artificielle dans galerie naturelle

Trou du Piége

Mercredi 19 Fevrier 2025

participants : Daniel M, Léonie, Rowland, Daniel C.

TPST : 6h; Trou du piège St Pancrasse


Une équipe motivée pour venir en aide à Daniel Mas sur un chantier digne des travaux d'hercule.

je commence par faire la visite des multiples entrées du secteur et rentre dans le trou du buis qui est à nouveau habité par des blaireaux, de nombreuses crottes fraiches en atteste, du coup on coupe direct par le buis 2 pour ressortir au trou du Piége.

Nous attaquons le chantier de Daniel M, les remontées de sacs de terre et de cailloux s'enchainent.

Au fond la paroi est visible des deux cotés et la zone deviens nettement plus humide.

Encore du travail pour Daniel M, en espérant rejoindre la galerie de la perte...

Vidéo pour voir le chantier:




 

mercredi 12 février 2025

Grotte de Trassanel, réseau 4

Dimanche 10 février 2025

Participants : Camille, Cloé, Pascal, Rowland, Gilles

TPST : 7h / Grotte de Trassanel, réseau 4

Notre grande classique du Minervois, que j'étais le seul à connaître. 

On peut féliciter Rowland dont c'était seulement la deuxième sortie sur corde après être allé aux fond des Cazals en janvier et qui a remonté tout cela sans aucun souci. 💪

Camille sera la seule à visiter de chantier du GPS après la salle des mystères... j'y suis allé une fois, ça m'a suffi. 😁

Quelques photos de Pascal et Cloé.











Gouffre de Cabrespine

Le Vieux Concrétionné

Lundi 10 Février 2025

participants : Léonie, Rowland, Laurent R, Daniel C.

TPST : 4 ; Visite classique / Gouffre de Cabrespine, réseau du Vieux Concrétionné.


Départ dans le gouffre à 11h pour la visite du réseau "Vieux Concrétionné".

Repas au départ du réseau et visite ponctuée de photos et de vidéos.

Vue du bas du Gouffre



Toujours aussi agréable cette cavité, avec des disques, des grandes stalagmites, des gours avec de l'eau, des aragonites et des concretions trés particulières au fond

Concretions particulières

Volcan

Par contre force est de constater que de nombreuse traces de boue sur las stalactites et parfois au sol sur des endroits sensibles ou il n'est pas necessaire de mettre les pieds gâche le tableau.

Exemple de boue non justifié, pire sur les stalagmites


Il serait bien d'envisager un balisage et je pense y retourner avec un pulverisateur et une eponge pour nettoyer ces erreurs voulues ou pas. Les personnes intéressées peuvent me faire signe.

Pour finir la vidéo sur le réseau 😊




 

lundi 10 février 2025

Les données du collecteur fossile révélées

Dimanche 09/02/2025

Réseau du Chant du Loup

Participants : Clément, Henri, Laurent

TPST : 5h30

Nouvelle session topo dans la suite principale. Les données du jour vont être du plus grand intérêt dans ce secteur beaucoup moins labyrinthique que précédemment.
Nous arrivons à l'ancien terminus topo en seulement 1/2 heure grâce aux aménagements effectués et à nos kits lights. Ce sera le temps minimal à comptabiliser.


 

Séance efficace à trois spéléos, le nombre idéal en topo.
Nous redécouvrons ce secteur à un rythme plus normal après l'avoir parcouru une seule fois à fond le jour de l'explo.
La rivière qui a creusé cette galerie n'est plus là mais a laissé de nombreux vestiges de son passé torrentiel, notamment des banquettes indurées de galets de roches de socle, dont certains de plus d'un kilo, alors que la pente n'est que de 2%.

Cela pose les questions de l'âge de cette rivière et de la taille du bassin versant correspondant, qui parait incompatible avec l'actuel...

Banquette d'anciens galets, en partie démantelée


Aujourd'hui, l'ancien lit est parcouru par un petit ruisseau incrustant qui a façonné des dizaines de gours.
Ce ruisseau est issu d'un affluent en rive gauche, la "fontaine", qui peut servir sans trop de risques de ravitaillement en eau potable, bienvenu et esthétique.

La "fontaine"

 A part ce ruissellement, toute la zone est désormais sèche, la rivière actuelle a disparu dans un sous-écoulement depuis plusieurs centaines de mètres.

 


 

Un "mur de galets", en partie soutiré et consolidé par la calcite  


Un "nid de perles", plusieurs centaines sont anciennes et incrustées, seule une dizaine reste active (au centre de la photo)


Autre vue de l'ancien lit


Nous faisons les relevés jusqu'à l'ancien terminus où nous découvrons de l'art pariétal.
Après une expertise poussée, on en arrive à la conclusion que ce n'est pas du Magdalénien...


On était assez chauds pour continuer quelques visées dans l'inconnu, mais la lucarne verticale dans la calcite franchie in extremis par les maigrichons vers la (grande) suite va nous en dissuader.
On se contentera de voir le volume par le (petit) trou et de se galvaniser de l'écho et du courant d'air qui y passe, et on reviendra avec ce qu'il faut pour mettre au gabarit...

Bon, et les résultats alors ?
Et ben l'émotion est aussi forte lors du dépouillement des données et de l'apparition de la cavité sur la carte que lors de l'explo :
La galerie continue à filer tout droit vers la perte de St Andrieu (une partie non négligeable du chemin a déjà été fait), et on voit mal à présent comment une inflexion pourrait se produire vers le Lauquet.
Le report de surface montre que nous progressons sous la ligne sommitale de la colline cotée 753, avec 150m de calcaire sur la tête.
C'est un magnifique exemple de drainage souterrain à contresens complet des vallées de surface.

274m de plus ont été relevés, ce qui amène la partie topographiée à 1313m de développement. Le trou dépasse donc sans forcer les 1500m à ce jour.
En poursuivant dans la même direction, la roche dolomitique devrait bientôt laisser place en profondeur aux calcaires et marbres du Dévonien moyen.
Etant donné la configuration en surface, la relation aérologique pressentie avec le réseau de la Pleine Lune parait de plus en plus probable. Les deux cavités principales du massif, même s'il reste pas mal de lacune, semblent se diriger vers un objectif commun : la rivière souterraine menant à Alet.
Le rêve lointain, trop souvent meurtri par les échecs, presque oublié même, de la découverte de cette rivière mythique, se rapproche à présent...
On va s'y accrocher !


Amont de la rivière souterraine de Labouiche

Samedi 8 février 2025

Participants : Paul, Bernard, Fabienne, Laurent, Alice, Flo, Benoît, Bob (SSAPO), Cédric, Yoann, Marion (Bouichards) et Gilles.

TPST : 6h30 / Amont de la rivière souterrain de Labouiche (Ariège)

À l'initiative de Paul, guide à la rivière souterraine de Labouiche, site touristique bien connu, nous avons été autorisés par les propriétaires à débarquer à la cascade où s'arrête la balade touristique pour remonter la rivière jusqu'au siphon terminal, plongé par Franck Bréhier en 2015 sans espoir de continuation.

Nous nous retrouvons à 10h au parking, l'ambiance est hivernale, il a neigeoté dans la nuit. Heureusement il n'y a pas de vent, et se déshabiller pour enfiler la néoprène n'est pas si éprouvant que cela.

L'équipe est composée de SSapistes, de Cédric, le gérant de la grotte, Yoann son frère et Marion qui travaille sur le site. 

Nous descendons les escaliers, embarquons sur l'une des grosses barques en fer et nous retrouvons 300 mètres plus tard au pied de la cascade. 

(photo empruntée ici)

La cascade a un bon débit (davantage que sur la photo ci-dessus), il faut sauter de la barque et gravir les marches en fer (visible à gauche sur la photo), ça patine sur le bas, l'ambiance est donnée ! 
Bob avec son gros kit photo aura du mal à décoller.

Juste derrière une première vasque s'évite par une main courante, mais la seconde n'en est pas équipée, il faut nager. Nous arrivons rapidement au premier siphon qui se shunte par le fossile. 
Une échelle hors d'âge est en place (un barreau est pété). Après avoir tergiversé sur la façon de refaire l'escalade en relative sécurité, c'est finalement Paul qui monte, à moitié en escalade, à moitié sur l'échelle, on est 4 à la parade en bas. Il parvient au sommet, installe une corde, puis Laurent le suit pour terminer l'équipement. 

Paul et l'échelle pourrie

Nous assistons ensuite Cédric et Yoann qui utilise pour la première le matériel de remontée sur corde, ce n'est pas la configuration idéale vu la boîte aux lettres remontant qu'il faut franchir ensuite.

Une fois le siphon shunté, nous redescendons admirer le lac des Nénuphars, qui se situe au-dessus de l'actif dans une galerie (semi- ?) fossile. Un endroit idéal pour notre photographe. 😀





Le lac des Nénuphars se shunte également pour ne pas le salir. On équipe de façon sommaire l'escalade pour faire passer le groupe, mais on se rend bien compte que le retour sera plus délicat. Par conséquent Laurent et Benoît reste sur place pour réaliser une main courante digne de ce nom pendant que le reste du groupe progresse. Le perfo aura bien donné aujourd'hui !

La galerie fossile redonne sur l'actif au niveau d'une grosse cascade (une dizaine de mètres). Il faut équiper une main courante, puis une petite descente de trois mètres.
Paul est à la manœuvre, mais malheureusement le bout de la corde s'est barré dans l'actif, et le nœud de bout de corde empêche de la récupérer. Il y a tout juste assez de mou pour installer la descente et Paul part en mode canyon dans la cascade décoincer le bout de corde... il n'y parviendra pas, il sera obligé de couper la corde. Une fois passé ce moment épique, nous reprenons la progression dans une eau plus calme, jusqu'au siphon terminal.


Alors que nous sommes sur le chemin du retour, Flo est prise d'une vive douleur au genou. Benoît et moi partons avec elle le plus rapidement possible vers la sortie, pas question de laisser refroidir le genou et risquer que cela devienne encore plus douloureux. 
Flo parviendra jusqu'à la sortie mais le combat avec la douleur fut rude.

Pour clôturer la journée, Cédric nous invite à boire un coup à la buvette de la grotte. Chocolat chaud pour certain, bière pour d'autres.

Merci à Paul et Cédric pour cette sortie aquatique ainsi qu'à Bob pour les photos que j'ai utilisées sur le compte-rendu.