samedi 27 novembre 2010

Aldène: descente à la rivière

Le week end dernier, descente spéléo à la rivière dans la grotte d'Aldène avec Patrick, Claude, jean-Marie et sa femme.

La descente est fatiguante et les étroitures s'enchaînent. Nous sommes bientôt couverts de boue et toujours pas trace de rivière. 
Après manger, les étroitures et les parois de la cavité se font plus humides et au détour du cheminement apparaît la rivière, enfin!

La galerie offre un impressionnant volume surtout au regard des étroitures par les quelles nous sommes passés!

Au bout du chemin un gouffre noir nous montre la fin de notre périple. Au fond un siphon. Demi-tour et remontée vers la surface non sans difficultés car les étroitures sont encore plus difficiles et fatiguantes à franchir dans ce sens

mardi 23 novembre 2010

Recherche responsables commissions

Un appel de Riton,président à tous les sympatiques lecteurs du Blog,membres du club.
Avant l'AG,je fait un appel à candidature pour s'occuper de 2 commissions,qui en fait n'en font qu'une...
Celle de la bibliothéque et des archives.
Celles-ci ont été transportées au local municipal de TRASSANEL...ou bien au sec,elles attendent que
qu'on s'occupent d'elles.
Je rappéle...qu'elles sont la mémoire du club...qui est un des plus vieux club spéléo de FRANCE!!!

 HENRI

lundi 22 novembre 2010

Trou de la dent à TRASSANEL

Ce Dimanche 21/11,HENRI, FELIX et JEAN CLAUDE,profitent de la douceur de l'air pour désobstruer en surface. Au sud ouest de la coline des Escombes ou ce développe le réseau de Trassanel, le club avait déja repris en juin une petite cavité connue depuis longtemps:le trou de la souffrière:puits- méandre de-6 légére-
ment ventilé.20m à l'ouest Henri connaissait depuis des années un porche colmaté de trés belle allure.
Début de la séance par un débrousaillage en régle par Henri et ça tronçonneuse.Jean Claude toujours plein
d'énergie, partage son temps entre le netoyage d'un terrain, et des coups de main au trou.Bon décaissage sur
1m de profondeur jusqu'a atteindre la roche.De nombreux blocs de shiste et calshiste témoignent du bon em-
plaçement de ce départ,pile au contact shistes-calcaire.Ces deux indices karstiques,situés environ à 300m en
plan du terminus sud-ouest du réseau 3, travailllé le Mardi 16,laissent suposer l'existance d'un réseau inconnu
au sud de la grotte.Peu d'air ce Dimanche à cause de l'équilibre des températures...mais de l'air quand méme.
Vue sur un élargissement derriére une lucarne...Affaire à suivre pour cette plaisante désobstruction.
Le retour pour Henri et Félix dans la remorque du quad de Jean Claude est....secouant!

dimanche 21 novembre 2010

Visites à la grotte d'Aldène

Pour information, la prochaine sortie dans la grotte d'Aldène se fera le samedi 18 juin 2011. Elle sera réservée aux spéléos. 36 places sont disponibles à l'inscription ce qui correspond à 4 groupes. 2 groupes descendront à la rivière et 2 autres feront la galerie des pas et les griffades d'ours.
La prochaine sortie tout public aura probablement lieu le samedi 22 octobre 2011 ou aux environs de cette date. Mais attention cela reste à confirmer...

mercredi 17 novembre 2010

sortie au réseau 3 de trassanel

La météo nous a chassé des corbiéres,ce mardi 16/11
henri,nico,jan et hendrick ce rabattent donc sur la séche te chaude classique du SCA...le "temple"
du SCA:TRASSANEL.
rentréeà 11h10,sous les rafales de vent froid.Descente sans problémes du Ribero,méme pour Jan
qui est presque débutant.Les fractionnements réaménagés vont beaucoup mieux.Visite du 3 coté nord-est.Henri fait le guide car Nico,Jan et Hendrick ne connaissent pas et sont admiratifs du concrétionnement et de l'état de conservation.Au bout de cette branche,Nico remarque une
faille faiblement ventilée qui serat à revoir.Si elle ne redonne pas dans le p37 proche,c'est excessivement intéressant...Une suite de ces gros conduits doit nécessairement exister sous le
pech de laure à l'est de la grotte.Casse croute au bivouac des anciens,puis cheminement(aérien)
et visite,initiation,photos dans la trés belle branche ouest.La tyrolienne avec une poulie tandem,
ce passe comme une fleur.En bas du p8,pistage de la suite.S'il est évident que la trémie frontale
ouest communique avec une petite salle(jonction à la voie)déja connue et non topographiée,
Henri localise une nette ventilation vers le bas de la trémie.2 tirs ne sont pas sufisants pour en
savoir plus...mais c'est excessivement motivant...Car d'aprés la topo,l'on serait ici décallé du
4 vers le sud...!Retour sans problémes.Et tout le monde à envie de revenir.TRASSANEL qui
féteras dans 3 ans le cinquantiéme anniversaire de sa découverte,esrt vraiment la grotte
idéale pour l'hiver.tpst:7h20.Arrét chez Jean Claude et Christiane qui peuvent faire connaissace
avec Hendrick et Jan.
Affaire à suivre.

dimanche 14 novembre 2010

Phénoménal






C'est une grande page de l'histoire de la spéléologie et plus particulièrement du secours spéléo qui s'écrit actuellement dans les gorges de l'Ardèche. La communauté spéléologique est mobilisée pour extraire le corps du plongeur de pointe Eric Establie de la Dragonnière de Gaud.
L'ampleur de phénomène est sans précédent : les équipes d'intervention départementales affluent de toute la France pour apporter bénévolement leur savoir faire depuis plusieurs semaines.
Sur place, le défi est énorme : il s'agit de rejoindre le collecteur du massif dans sa partie inconnue par une perte temporaire du plateau. Ce qui n'était qu'une simple doline est désormais un important gouffre suite au travail incessant des équipes d'artificiers. En zone profonde, un nouveau genre d'obstacle apparaît : les siphons.
Quand la première équipe de l'Aude (Christophe, Christelle et Laurent) arrive mardi, le premier siphon est en train d'être pompé (voir photo) non sans mal; des banquettes de sable s'affaissent en permanence et menacent de refermer le passage. Nous sommes tout de suite engagés. Nous profitons d'une fenêtre pour franchir l'obstacle pendant que d'autres stabilisent le sable grâce à des sacs à gravats et levons rapidement la topo derrière. Un bel actif pour l'Ardèche (2l/sec) parcourt la suite sur 40m avant une cacade de 5m mais un second siphon nous barre la route en bas.
Les jours suivants, d'autres équipiers audois arrivent (François et Maria mercredi, suivis de Jean dans la nuit puis Alain et Michel jeudi). Les évenements s'enchaînent : plongée malheureusement stoppée sur du sable récalcitrant puis brainstorming intense entre CT des divers départements pour mettre en place des solutions techniques osées comme le nom de l'opération, forcément lourdes et longues, en restant dans la sécurité maximum.
Quand nous rentrons dans l'Aude samedi, ces solutions commencent à payer mais nous n'en verrons pas la fin...
Nous arrivons chez nous après ces quatre jours avec l'impression d'avoir vécu plusieurs semaines voire plusieurs mois de vie. Des dizaines de rencontres, d'expériences; des missions variées (topographie, explo, secrétariat, pompage, construction d'un barrage souterrain, gestion des opérations depuis le PC) ont été vécues par l'équipe. Un sentiment profond de communion désintéressée autour de nos valeurs spéléologiques d'exploration de l'inconnu et d'entraide à grande échelle se dégage et c'est quelque part rassurant dans une société actuelle où les valeurs véhiculées sont futiles, égoïstes et intéressées. Eric n'est plus mais il a indirectement donné naissance à quelque chose d'énorme sur le plan humain...
Le moment le plus intense restera la première visite depuis l'accident de sa veuve et de son fils de 14 ans (plongeur lui aussi) sur les lieux vendredi après midi, l'emotion était énorme au PC. Le ciel s'est mis à flamboyer comme jamais, scotchant littéralement la trentaine de personnes qui était là et le temps s'est suspendu. Je ne suis pas du genre mystique mais il était très difficile de ne pas y voir "un signe". Ceux qui étaient là me comprendront. Des photos et même des vidéos ont été prises, j'essaierai d'en récupérer quelques unes (Michel si tu me lis...).
J'éspère vraiment que toute cette énergie aboutisse au résultat escompté, ça le mérite... En tout cas, pour nous, il y aura un avant et un après "Dragonnière".

samedi 13 novembre 2010

Expédition SCA dans les Highlands : Absent-minded shepherd







Henri équipe le P15



Nous devions désober à l’Aven Yves, mais comme nous n’étions que trois, nous modifions l’objectif : le Berger Distrait. Comme par un coup de baguette magique nous changeons de monde : collines verdoyantes, lande d’automne battue par le vent, rideau de pluie… il y a même les moutons.
Il fait meilleur au fond (-46) Henri fait péter l’étroiture percée lors de sa dernière visite. Nous sortons les blocs et Sylvain se faufile dans l’infaufilable. Il se retrouve dans une faille inclinée assez spacieuse. Nous le rejoignons par la spirale égyptienne. Un petit écoulement a la bonne idée de mouiller le sol de calcite, on a pas été secs longtemps. Henri se démène au fond de la faille ; j’attaque le haut et dégage assez facilement une lucarne. Henri passe par cet accès : un puits faille assez grand fait suite. Les blocs rebondissent de paroi en paroi !!!! La 1° est en vue mais nous n’avons pas de corde. Henri remonte en chercher une ; avec Sylvain nous agrandissons les passages. Retrouvailles à –46 pour casser la croute rapidement en savourant la perspective de la première qui nous attend. Henri équipe : assez joli puits d’une quinzaine de mètres. En bas une arrivée d’eau  suit la paroi et se jette dans un méandre. Nous sommes trempés et désobons à la massette sous la douche sans arriver à nous réchauffer. Je comprends pourquoi le berger était distrait : il a du oublier d’allumer le chauffage et de couper l’eau. Après 2 tirs nous avons vu sur la suite : méandre très étroit qu’il est possible d’exploser, mais l’eau part par une faille de quelques centimètres…
Tu vois Nico : on n’est pas à –180 et on t’a laissé de quoi faire !
Au retour : surprise : il fait beau
Belle sortie et troisième « première » dans trois cavités différentes depuis septembre !!!

jeudi 11 novembre 2010

Sortie mardi au berger distrait

Pour ceux que ça branche, première en vue dans ce trou sympathique, et TRES TRES bien placé !
Henry, mardi matin tôt chez toi ?? J'amène le petit Florian avec nous !

dimanche 7 novembre 2010

Pleine Lune : sous la pile … la suite



Sylvain, Guillaume, Jean Marie

La journée commence mal : j’arrive en avance sur le parking de Leclerc pour m’apercevoir que j’avais oublié … tout mon matos (record de Sylvain battu).
Retour chez moi et je fonce à Villardebelle ou Guillaume et Sylvain s’équipent tranquillement.
Notre objectif est de terminer les escalades de la Salle des Catalans.
Nous sommes partis tard (vers 10h) et arrivons à la salle vers 11h30. Nous avons faim et commençons à grignoter au bas de la dernière corde.
Sylvain ne tarde pas à laisser tomber une pile sous nos pas. Elle rebondit de rocher en rocher dans la trémie terminale (la propre, dans la boueuse elle ne serait pas allée loin). Cinq minutes après je tombe ma petite boite de café dans la même trémie avec le même résultat.
J’y tiens à cette boite que je traîne sous terre depuis une décennie.
Je pars à sa recherche et aperçoit un passage entre les blocs, Sylvain en trouve un meilleur. Nous descendons et récupérons la boite et la pile.
Sylvain a perdu son kroll qui le gênait pour se faufiler entre 2 blocs. Il le retrouve par hasard collé sous sa botte par une couche de bouillasse.
Quand… surprise… entre les blocs on aperçoit un vide pénétrable sur quelques mètres !!!
Nous faisons chauffer massette et burin. Sylvain s’engage et nous le suivons.
Trémie habituelle pour cette cavité : les blocs sains sont instables ; les blocs apparemment stables sont pourris…
Au détour d’une étroiture nous tombons sur un vide plus vaste dans du calcaire parfaitement sain, propre :

Nous avons retrouvé la faille !

Nous la descendons sur une dizaine de mètre et nous arrêtons sur un retrécissement localisé. Le courant d’air est très net et nous avons vite froid. Nous jetons quelques cailloux qui tombent sur plusieurs mètres : un tir sera indispensable.
Nous remontons et repérons une bifurcation de la faille. La nouvelle galerie est glaiseuse mais débouche sur une petite salle inclinée se terminant en … siphon de stable ! Style Euzèdes ou Chtulu mais en plus modeste (1 mètre sur 50 cm). La passage dans la glaise puis dans le sable fin nous donne l’aspect de 3 escalopes !
Désob du siphon incliné à 45°. Guillaume tente un passage la tête première ; en vain. Nous le remontons en tirant par les bottes. Il doit encore avoir du sable entre les dents à l’heure actuelle. La désob reprend. Sylvain réussit à passer, je le suis espérant tomber sur un conduit remontant. Malheureusement le conduit est horizontal et complètement bouché par de la glaise. De toute façon il s’agissait d’un amont. Nous faisons demi-tour.
En remontant à gauche sur la partie haute du sable part une conduite forcée, ventilée. Sylvain la remonte mais n’arrive pas à passer un coude. Là également un tir sera nécessaire. Sur la partie droite nous retrouvons la faille qui nous a amenés là. Elle est pleine d’un amoncellement de lames sur lesquelles nous avions progressé. En dessous la faille s’élargit mais un moignon nous barre le passage. Sylvain s’excite à la massette. Je le remplace et soudain le moignon saute laissant tomber les lames qu’il arrêtait. Bruit d’éboulement, je vois les lames me venir dessus… adrénaline…
Heureusement tout se bloque sans nous toucher ou nous boucher la sortie. Là également un tir sera indispensable : il s’agit de l’aval du siphon de sable qui se jette dans la faille. Nous repartons avec les pas les plus légers possibles (style l’Aguzou) sur les lames qui se sont décrochées…
Retour à la salle des Catalans. L’escalade est reportée à plus tard. Nous sortons vers 22 heures avec une faim ! Sylvain pense même s’arrêter au Mac Do mais avec les têtes que nous avons…


Aven Yves : la désob continue

Aven Yves

Dimanche 31 Octobre 2010

Patrick, Jean Michel, Jean Marie

Pour une fois : temps super, soleil et douceur. Le pré pentu et le chemin sont bien secs. Après un rendez-vous manqué (plus ou moins volontairement ?) avec Henri, nous garons le toy dans la clairière de l’aven Yves. Sans nous concerter j’avais amené un bidon de 20 litres d’eau et Patrick une bassine.
Descente vers 10 heures. Nous arrivons rapidement sur le chantier. Grattage et tirage de gamates jusque vers 18 heures. Le tube alterne des passages horizontaux avec des pans inclinés. Le courant d’air est très net tout au long de la journée.
Le travail est confortable : sec ventilé juste ce qu’il faut pour ne pas avoir trop chaud ni trop froid.
Nous nous arrêtons 50 cm avant un élargissement. Au-delà les mottes de terre rebondissent sur une autre partie en pente…
Frustrant : la physionomie du conduit est engageante, le courant d’air témoigne que le tube débouche. Mais dans combien de temps ? une sortie ? Dix ?
Nous devrons être au moins 4 pour la prochaine sortie le 12 Novembre !!!
Nous remontons vers 20h30. Le nettoyage du matos à la brosse à dent avant le puits de sortie est un vrai bonheur, pour une fois tout accroche.

Ce ne sera pas le cas pour le trajet en voiture ! Il a plu toute la journée. C’est la première fois que je prends un 4x4 sur du tout terrain. Dans la descente le cul part un peu dans tous les sens ce qui ne me rassure pas.
Pour la remontée le chemin de roches lisses est tapissé d’une fine couche de bouillasse ; tout patine… Patrick et Jean Michel me poussent en vain (sous la flotte et le vent). Les branchettes de buis nous font gagner 10 mètres. Il en reste encore une cinquantaine. La solution du tracteur commence à nous chatouiller quand Jean Michel revient de la bergerie avec un palette. Nous la disséquons en planchettes qui posées tous les 10 cm nous sortent enfin du bourbier. C’est les fesses serrées que je m’engage sur le chemin descendant. Si on ripe sur la droite, rien ne nous arrêtera avant le fond de la vallée 50 mètres plus bas.

Patrick et Jean Michel font semblant de me faire confiance. Enfin nous arrivons à la ferme et ceci restera un souvenir mémorable. Surtout pour Patrick qui a toutes les peines du monde à étendre ses jambes et à  sortir du toy quand nous arrivons à sa voiture garée à Limoux.

Quelques photos de la sortie précédente :
                

samedi 6 novembre 2010

Souvenirs souvenirs, Novembre 1999... Made in Canada !!

Allez voici le lien sur le documentaire fait en 2007 sur le secours des Vitarelles de 1999, inondations cruelles de l'Aude jusqu'au Lot : http://www.1777.fr/videos/play/139-Vitarelles
Une vidéo de 50 min qui montre assez bien la complexité d'un tel secours, par une boite assez sérieuse qui bosse pour National Geographic.
Je vous dirige aussi sur les archives du SSF : http://ssf.ffspeleo.fr/index.php?option=com_docman&task=cat_view&gid=87&Itemid=104
Allez en bas de page pour télécharger un gros documents pleins photos et d'articles.

Bon week-end à toutes et à tous !

Nico, alias le chat noir pour certains...

mercredi 3 novembre 2010

Après des rendez-vous manqués entre plusieurs équipes, because l'on n'a pas assez communiqué
avant(ha...la communication), henri jonctionne avec une équipe de belges, amis de Laurent,
Dimanche 31/10 à la bergerie de Pinaud. Après pas mal d'inutile attente,décision est prise d'aller
faire un petit tour(c'est déjà 11h30) à l'aven du berger distrait sur Ournes,exploré en 2009.
Nos amis Belges sont 4...et de 4 clubs différents: Spéléo Club Alpin de Namur, Groupe Spéléologique Sambre et Meuse, La Cordée Moucron, Société Spéléologique de Namur. Descente à 12h.
Malgré l'équilibre de température, le courant d'air serait toujours bien présent. 2 tirs de début
d'ouverture dans le passage très ventilé de -40. L'on passe presque, et l'on peut apercevoir 2m
en dessous une petite poche...et le haut d'un toboggan ou les cailloux dévalent bien...Et si l'on peut
dire une chose concernant le courant d'air..c'est qu'ici il est tout sauf suspect.Une surface plus bouchée que dans cette dépression du bois d'ournes...tu meurt.Mais le plus marquant est la présence de l'étonnante Lucienne Gaulemvaux,73 ans au compteur, pionnière de la plongée souterraine
en Belgique. Elle remonte du difficile et étroit aven...comme si de rien n'était! Affaire à poursuivre
d'extrême urgence... Attention quand même à la marche d'approche... qui doit dépasser... les 2 m!
Au tours de Jean Marie je l'espère de nous raconter ces aventures au YVES... ou il semble aussi
intéressant de poursuivre.