lundi 26 mars 2012

Sortie Photo-Vidéo du Samedi 24 Mars 2012


GROTTE DE LA DEVEZE (suite et fin)


Rédaction de la Fiche : Alain FAURE
Participants : Olivier COQUELET, Patrick GEORGE, Alain et Bastien BONDOUY, Solange GARCIA, Véronique RIEUSSEC, Daniel CONSTANS, Alain FAURE
Denis MATARIN (SCMNE), Marielle et Joël l'après-midi
TPST : 6 h
Photos : Olivier COQUELET (Denis extérieurs)

10 h -Tout le monde est à l'heure au rendez-vous (même Denis...)

Nous avons repris le tournage du film à partir de la Salle De Rouville, lieu où nous nous étions arrêtés la dernière fois.
Tournage Salle De Rouville et Salle Miquel.
Après, direction la Galerie de la Découverte.
Tournage bout de galerie et montée vers l'entrée de la Découverte.
J'amène ceux qui n'étaient pas là la dernière fois voir les aragonites au réseau inférieur. Pendant ce temps les autres vont faire quelques photos à la Galerie des Bijoux.

12 h30, nous ressortons pour casser la croûte au soleil. Apéro, repas copieux et arrosé. Dur ensuite de repartir.
14h, nous rentrons de nouveaux dans la grotte, et montons directement à la Salle Georges Milhaud. En montant l’escalier, nous récupérons le matériel laissé sur place en fin de matinée
Tournage dans la Salle Milhaud.
Puis tournage dans la Salle de l'Autel et la galerie de la sortie. Il était temps je n'ai plus de batterie de caméra.

17h30, retour vers la surface. Avec Denis, nous retraversons la grotte en sens inverse, car la clé que nous avions ne ferme pas la porte du haut. Une cannette est la bienvenue à la sortie.

Cette grotte a été filmée car faisant partie du même complexe que Roquebleu (connexion établie historiquement), en plus certaines séquences devraient faire partie d'une émission de TF1 sur le secteur.



















samedi 24 mars 2012


Du n'importe quoi sur fond d'azur....concernant la technique pour faire des commentaires...a ce jour c'est toujours totalement impossible pour moi de l'utiliser...malgré les instructions d'EDOUARD!!!
Donc....je fait un commentaire...par article!!!
Concernant la sortie a la Pleine Lune:Jean Marie,a tu passé les donnés de ta topo a LAURENT pour qu'il la jonctionne a la topo d'ensemble?Sans ça,je ne vois absolument pas l'intérêt d'un tel relevé!D'autant qu'il semblerait que vous ayez atteint une salle pas très loin de la surface...Évidemment,ça n'enlève pas l'intérêt de l'escalade dans la salle des chauves souris.Sylvain,est tu toujours intéressé?
Le but de telles recherches,serait de percer une entrée par là....ça changerait totalement la donne en terme d'engagement...et donc d'efficacité dans la recherche de la suite...Car une suite il y en a nécessairement une...même si jusqu'à présent ,elle n'a pas été localisée...

vendredi 23 mars 2012

Gaubeille Blues

Samedi 17 mars 2012

Gaubeille, sallèles

TPST 8 heures

Claire, Jean Marie et Alain, Eric, Nestor (SSPCV)



Descente vers 10h30, l'ouverture de la porte est plus embêtante que jamais.

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La première boite aux lettres entame les réserves d'énergie.

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Progression dans la partie supérieure :

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Arrivée à "L OBSTACLE" et là c'est un grand moment de bravoure. Chatière remontante de quelques mètres sans appui pour les pieds au départ. Alain et Claire passent comme des ablettes ; j'ai un peu plus de mal.

Au tour d'Eric :

 

Puis de Nestor :

 

La bande son m'a été fournie par Pierre à qui j'avais demandé un morceau pour illustrer "ce qui se passe quand ça ne passe pas...". Il m'a dégoté : "Constipation Blues" que je vous conseille en version intégrale sur : http://www.youtube.com/watch?v=ic3g8Xnf7LI

Descente du puits concrétionné après la chatière maléfique :

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Dommage pour eux car derrière on a du "très beau". Je n'ai pris que cette concrétion poilue pour ne pas pourrir la grande salle que l'on connaissait déjà.

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Olivier il faut vraiment que tu viennes avec ton équipe photo, des flashes puissants, et ton savoir faire ! Avant la fatidique chatière Nestor a fait de superbes photos mais j'ai du mélanger les fichiers vous les retrouverez peut être ailleurs...

 

Sortie vers 18h30, avec le sourire… crispé ?

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jeudi 22 mars 2012

Grande Faille du Gouroutabu

 

Complément à l’article de Sylvain

 

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Chacun selon ses moyens…

 

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J’avais soit disant l’air d’un marin pêcheur… Ils auraient pu dire pire !

 

Effectivement plus on descend plus Etienne, chargé comme un baudet, se demande ou il est tombé. Je crois que s’il avait eu sa voiture, il remontait avant d’arriver à la piscine.

Pourtant les failles me paraissent plus larges à chaque passage…

Ambiance fresquette à la salle des Chauve-Souris. Trempés par le contact avec les parois boueuses l’immobilité entraîne vite une caillante mémorable. Et encore on avait pas traversé Verdun.

 

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Séance topo imphotographiable ; les gants changés en ballon de boue. Je crois qu’Etienne fait semblant de viser avec le suunto…

Enfin en haut de la faille je ressors l’appareil : scoop !

Les photos ci-dessous sont exceptionnelles, non par leur qualité mais parce que un photographe n’est pas prêt de revenir dans cet enfer visqueux.

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Sylvain va remonter sur sa corde puis la lâcher une dizaine de mètres au dessus de nous. Il partira en libre, scotché à la bouillasse et nous verrons sa lampe filer vers l’extrémité Est de la faille pour un plancher stalagmitique que nous ne topographierons pas.

Pourtant Sylvain avait soit-disant découvert une petite salle concrétionnée …

 

Topo : pour donner envie à Laurent de dessiner la totalité du réseau…

Grande Faille du Gouroutabu coupe            Grande Faille du Gouroutabu plan

En fait il s’agit d’une faille, Nord Est / Sud Ouest, élargie parfois en puits. Plusieurs planchers sur des blocs calcités la divisent en différents étages. Les parties supérieures sont déviées vers le Sud. Le point bas Sud Ouest décrit par Sylvain mérite un pêt quand on aura de quoi. Nous avons laissé une corde dans le puits de Verdun (25 mètres), une dynamique de 30 mètres dans la salle des Chauve-Souris et une statique de 30 mètres en bas de la Trémie Molle. De quoi escalader la salle vers une éventuelle suite.

Sortie vers 23 heures, en pleine bourre ; ma meilleure remontée « je me sentirais capable d’y revenir sur le champ s’il fallait aller y chercher un blessé ! ». Sylvain va bien également. Etienne est découragé : « moi qui suit le plus jeune… ». En fait, en ce qui me concerne, il devait s’agir de quelque neuromédiateur sécrété au cours de l’effort intense : arrivé sur le parking de Leclerc j’ai du mal à me sortir de la voiture et je mettrai deux jours à m’en remettre… Rassures toi Etienne !