Un peu d'Histoire.
Pour souligner l'ancienneté de notre engagement sur la zone du Blau.
Après l'opération pompage de 1985, qui était plus collective et dans le cadre du CDS 11, c'est le CLUB qui c'est remis à la tache...:
Travaux à la faille "parkinson" du trou du vent du Blau:
- 30/05/1990
- 31/05/1990
- 1/06/1990
- 5/06/1990
- 12/06/1990
Et enfin 30/06/1990.
Et je ne résiste pas au plaisir de copier intégralement le CR de cette dernière sortie, qui a été décisive comme vous pourrez le voir:
- Samedi 30 juin, Dimanche 1 et Lundi 2 Juillet 1990: Sorties au Trou du vent du Blau avec Thierry Bonnel, Laurent Hermand et Christophe Bataillé.
Montée depuis Limoux avec Thierry et Christophe qui ont dormi à Limoux.La voiture chargée à bloc (une 4L!), a du mal à avancer et tangue dans les tournants...Dépôt de matériel dans une grange à l'Escale. Passage chez Albert Hernandez à Bélesta qui nous prête la perceuse sur groupe du Plantaurel.L'on n'arrive qu'à 10h au trou ou Laurent commençait à poiroter...Je reste au groupe (électrogène...) et les autres rentrent vers les 12h. En me baladant sur un sentier balisé au nord du trou je "trouve" deux trous souffleurs sur le talus du sentier (les Chandelier N°1 et N°2 actuels!). L'un d'eux fait un bruit de turbine (certainement l'air sous pression). Je descend au Blau vers les 14H. il y a beaucoup d'air à l'entrée. Les autres viennent tout juste de percer deux trous. Avec la mèche fine que l'on peut adapter sur cette perceuse, les trous sont vîtes faits. Seulement l'accès est maintenant très mal commode tout au fond. Les trous sont bourrés en technique micro-charges directes, et le tir ne veux pas partir.Ce n'est qu'après plusieurs aller-retour que l'on arrive à faire péter un seul trou. Il faut faire un nouveau tir dans un coude, mais cette fois ci en placage. L'air est littéralement frigorifiant. J'arrive à franchir une étroiture sévère en coude vers la droite. En me relevant je me trouve alors à hauteur du fameux "méandre" que les autres avaient cru apercevoir. N'étant toujours pas convaincus de la commodité de la frontale pour fouiller dans des boyaux étroits, ils avaient été abusés!...Ce "méandre" n'est qu'une fracture remplie de blocs, partant à la perpendiculaire de la faille d'accès. L'entassement de blocs donne l'impression que l'on pourrais ce trouver au bas d'une salle, mais rien n'est visible. Dessous la banquette ou sont posés les blocs, un étroit laminoir laisse voir un espace sur quelques mètres. Pour pouvoir continuer il faudra désormais prendre plus grand tout le chemin qui y mène au bout. Ici il n'y a aucune place pour stoker. Décidément le trou du vent ce défend bien. 8M de première dans la journée. Plus de 15m ouvert depuis le 30/05. Les autres sont un peu dépité et ne vont même pas voir!...Sortie vers les 19H. Coups d'oeil aux trous souffleurs du sentier. Ils semblent en fait assez loin du trou du vent et pourraient donner sur un amont (et comment donc, peut t'on dire maintenant!!!). Descente dans la voiture de Laurent à la Roque de Fa ou il y a la fête. A quatre dans ce tas de ferraille c'est assez épique!....l'on couche dans un pré à l'ouest du village.
- Dimanche: arrivée en milieu de journée à l'Escale. La flemme étant au rendez vous chez nos fêtards, l'on ne vas pas déséquiper le trou du vent, comme il serais judicieux, mais l'on monte aux trous souffleurs près du sentier balisé. Je commence à piqueter celui le plus haut (l'actuelle entrée du réseau..), mais la terre compactée donne sur du rocher en place. Dans celui de l'aval, j'y agrandis le boyau d'accès. Après un coude vers la gauche, une salle basse butte sur une sorte de trémie. Au milieu, une lucarne laisse voir deux espaces assez étroits. Rien n'est évident, mais un très bon courant d'air est plus qu'encourageant...Les autres avachis au soleil....ne lèvent pas le petit doigt!....Départ assez tôt et retour à la Roque de Fa après une discutions à bâton rompu...Je prend cette fois ci la 4L. Coup d'oeil à la résurgence de Montjoi qui coule bien. Coup d'oeil à l'entrée du réseau de Vignevielle. Cet exutoire à une allure impressionnante. Le siphon est très bas et l'eau à libéré la faille soufflante au dessus. Bien qu'à ce jour pas ventilée, elle est désormais attaquable. Cette première partie est vraiment magnifique et laisse pésager un réseau d'attaque (c'était ma première descente dans l'Event de la cascade). Le soir à la Roque de Fa la fête est plus calme, et il y a moins de cas d'éthylisme!
- Lundi: Départ de la Roque de Fa plus tôt que la veille. Passage à l'entrée du Buffo Galino à Bouisse. L'on n'y sent pas le moindre soupçon d'air....Arrivée en milieu de journée à l'Escale. rentrée dans le trou du vent à 13H. Déséquipement complet du trou: l'on remonte nécessaire de désobstruction, lignes et cordes. Pour un temps le trou vas retrouver sont calme millénaire. Au trou souffleur du sentier le plus en amont, Thierry fait un placage monstre pour utiliser de la vielle gomme. Le pet est des plus retentissant, mais ne fait pas beaucoup avancer! Le bruit de turbine est toujours là....Laurent descend et laisse Christophe à Couiza. Montée à Bélesta avec Thierry rendre la perfo à maître Albert. Il nous apprend que maintenant le trou du Pinet à Comus fait - 400....L'on rembarque Christophe à Couiza, et je raccompagne les deux jeunes à Trèbes. Repas chez Thierry et retour à Limoux.
Ce n'était que le début de l'aventure que nous sommes en train de vivre.....27 ans plus tard....
Extrait de mon cahier de Compte Rendus N°2.
lundi 25 décembre 2017
dimanche 24 décembre 2017
Pas de trève pour Noël
Dimanche 24 Décembre 2017
Alentours du col du Chandelier
Participant : Laurent
TPES :3h30
Une belle matinée d'hiver calme et froide, rien de tel pour une petite prospection solitaire
Le premier départ intéressant découvert est un méandre rentrant dans un escarpement de doline. Jolies formes de creusement mais malheureusement pas de courant d'air.
Beaucoup de zones rébarbatives, puis dans une zone facile d'accès un escarpement et un départ de trou. C'est bouché par les blocs mais un petit départ de voûte de dessine en bout de faisceau de lampe, et ça souffle assez sensiblement.
Ensuite, en suivant l'escarpement mais bien dissimulée, une vieille stalactite attire l'oeil.
Et dessous, un trou, un vrai cette fois.
Le trou est vertical, peu engageant car étroit, mais pénétrable. Pas de signe évident d'un ancien équipement, mais la cavité a probablement été descendue il y a longtemps par les anciens, même si on en avait jamais entendu parler. La différence c'est que maintenant on en sait plus sur ce qu'il y a dessous.
Le sondage donne une vingtaine de mètres quand même, avec un palier vers la moitié.
Mais le mieux c'est qu'il y a un bon souffle (il fait 0°C). On sent bien que le passage n'est pas ouvert jusqu'aux galeries, ce n'est pas une tornade, mais c'est encourageant et il faudra aller voir.
De retour à la maison et le pointage effectué, il est clair que nous avons un premier candidat au concours des entrées hautes : le trou n'est pas très loin en plan des galeries du Chandelier, mais il faudrait descendre de 140m. Pas gagné d'avance, à suivre donc...
Alentours du col du Chandelier
Participant : Laurent
TPES :3h30
Une belle matinée d'hiver calme et froide, rien de tel pour une petite prospection solitaire
Mer de nuage sur Puivert et la reculée du Blau. A droite le mont Trabanet |
Le pic de Nore émerge au loin |
La frontale donne l'échelle |
Départ vertical plein de blocs |
Et dessous, un trou, un vrai cette fois.
La stalactite, en noir, trahit la présence de la cavité |
Le sondage donne une vingtaine de mètres quand même, avec un palier vers la moitié.
Mais le mieux c'est qu'il y a un bon souffle (il fait 0°C). On sent bien que le passage n'est pas ouvert jusqu'aux galeries, ce n'est pas une tornade, mais c'est encourageant et il faudra aller voir.
Verticale étroite |
mercredi 20 décembre 2017
Commando sec tombe à l'eau et se mouille...
18/12/2017
Grotte
du Cirque
TPST 4 h 30
Etienne
Pointage
GPS et photo de l'entrée. Cheminement topo jusqu'au petit puits en
face duquel nous avions repéré, lors de la sortie précédente, un
remplissage facile à creuser. Le but n'est pas de refaire la topo
mais d'avoir un cheminement suffisant pour pouvoir faire le report de
surface de l'ancienne topo.
Je
vais faire quelques photos des varves aperçues la fois précédente.
Il s'agit bien de sables et limons dolomitiques, parfois très fins,
venant de l'extérieur et non pas de farines glaciaires.
Sur
le cheminement, j'aperçois aussi ce remplissage de graviers, bien
calibrés, bien roulés, provenant de la Clamoux et témoignant de
vitesses d'écoulement relativement rapides...
J'aimerais
pouvoir dire que c'est une perte venant du Sud qui constituerait la
tête de réseau du III... Mais il faudrait d'autres éléments et
rien n'interdit qu'il s'agisse d'un réseau de flanc. Les chicanes
successives ne facilitent pas la lecture. Daniel doit bien avoir
quelques interprétations pour animer le blog pour le plus grand
plaisir du Riton...
Je
gratte un moment en face du petit puits. Le remplissage
vient très bien à la piquette. La prochaine fois prévoir une pelle
US, une gamate, une massette et un burin pour les zones calcitées.
Je
regrette un instant de ne pas avoir pris un bout de nouille pour
descendre en bas du petit puits car il y a un bruit d'eau assez
important à mon arrivée. En quittant la zone, je récupère mon sac
dans un écoulement d'environ 4 l/min qui s'est installé pendant que
je grattais. En effet, il a pas mal plu la nuit précédente et
l'infiltration vient juste d'arriver par une fissure en paroi.
Direction
la sortie. Je m'engage dans les chatières de la zone d'entrée et là, surprise : la flaque, sèche à l'aller, s'est bien remplie pendant
que j'étais dans la cavité ! Petit bain avant de retrouver le
vent frais en surface.
mardi 19 décembre 2017
Mardi 19 décembre 2017
participants : Daniel MAS et Daniel Constans
TPST : 3h ; Recherche grotte / Libellé : Grotte du Val D'Houms.
Avec Daniel M nous avons retrouvé la grotte du Val D'Houms (entre Villeneuve Minervois et Caunes).
Pour y aller : Après les
bâtiments de l'ONF, continuer sur la piste sur 30 m et prendre la première
piste à droite elle s'arrête quelques centaines de m plus loin en bord du lit
du ruisseau. De là part un petit sentier très fréquenté qui traverse ledit
ruisseau, monte sur le talus rive droite. Vous êtes arrivés. Ce sentier
continuera jusqu'à une autre piste qui ressortira sur la route Villeneuve-
Pujols du Bosc.
Mousquetons ,plaquettes, câbles, sceau toujours en place:
A l’intérieur les planches de soutènement sont en place:
participants : Daniel MAS et Daniel Constans
TPST : 3h ; Recherche grotte / Libellé : Grotte du Val D'Houms.
Avec Daniel M nous avons retrouvé la grotte du Val D'Houms (entre Villeneuve Minervois et Caunes).
Première photo: quand vous
marchez dans le lit du ruisseau Sorti des schistes, vous voyez ce calcaire:
monter sur le talus rive droite vous êtes arrivé...
Mousquetons ,plaquettes, câbles, sceau toujours en place:
A l’intérieur les planches de soutènement sont en place:
samedi 16 décembre 2017
Le commando aquatique tombe à l'eau...tout en restant au sec !
Samedi 16 Décembre 2017
Trou du Chandelier
Participants : Steve, Jean-Luc, Henri, Etienne, Laurent
TPST : 2h
On avait tout prévu pour le repérage "hautes eaux" (c'est bien le seul endroit du département où l'on peut employer ces termes).
Canot, néoprènes, bidons étanches...
Mais l'ogre de Sault en avait décidé autrement, en refermant une fois de plus ses mâchoires.
Tout les lecteurs assidus auront compris de quoi il s'agit : la trémie du grillage. Un nouvel effondrement que nous découvrons après quelques minutes dans la cavité.
Le grillage a une nouvelle fois fait le job en retenant l'ensemble de la terre et des blocs, mais il y a encore de la réserve au dessus et le passage est vraiment trop dangereux pour s'y engager, en cas de nouvel effondrement.
Cet évènement montre à quel point la politique de sécurisation menée depuis la découverte n'est pas un concept abstrait.
Toute incursion dans la cavité est donc suspendue jusqu'à sécurisation complète de la trémie, en très dur cette fois; cage acier et gros boulons comme à Matte Arnaude en son temps.
Donc au risque de me répéter, s'il y a des curieux, abstenez vous d'aller voir, ça craint vraiment pour le moment...
Puisqu'on avait du temps, j'ai donc emmené le groupe vers le deuxième niveau fossile du Blau, à savoir la grande grotte repérée en Septembre au dessus du Chandelier. Les volumes de cet ancien conduit impressionnent et laissent augurer de belles découvertes au coeur du massif même après d'importantes escalades depuis le Chandelier
On farfouille un peu partout aux différents terminus sans résultats probants. Puis retour au Chandelier pour discuter de la stratégie pour la suite. A noter que dans le trou, les conditions sont extrêmes : le Blau n'aspirant plus que peu d'air cause montée des eaux, une grande partie de la ventilation du massif passe en ce moment par le Chandelier. Un blizzard à 0°C qui prouve l'absence de zones siphonnantes mais qui tétanise n'importe qui d'inactif plus de quelques minutes...
Pour finir petite visite à la source du Blau pour compléter la culture karstique de Jean-Luc. Le porche ne coule pas mais ça cascade 2m en dessous.
Trou du Chandelier
Participants : Steve, Jean-Luc, Henri, Etienne, Laurent
TPST : 2h
On avait tout prévu pour le repérage "hautes eaux" (c'est bien le seul endroit du département où l'on peut employer ces termes).
Canot, néoprènes, bidons étanches...
Mais l'ogre de Sault en avait décidé autrement, en refermant une fois de plus ses mâchoires.
Tout les lecteurs assidus auront compris de quoi il s'agit : la trémie du grillage. Un nouvel effondrement que nous découvrons après quelques minutes dans la cavité.
Le grillage a une nouvelle fois fait le job en retenant l'ensemble de la terre et des blocs, mais il y a encore de la réserve au dessus et le passage est vraiment trop dangereux pour s'y engager, en cas de nouvel effondrement.
Cet évènement montre à quel point la politique de sécurisation menée depuis la découverte n'est pas un concept abstrait.
Toute incursion dans la cavité est donc suspendue jusqu'à sécurisation complète de la trémie, en très dur cette fois; cage acier et gros boulons comme à Matte Arnaude en son temps.
Donc au risque de me répéter, s'il y a des curieux, abstenez vous d'aller voir, ça craint vraiment pour le moment...
Pression max sur le grillage... |
Le porche, ancien abri de bergers, vu depuis l'intérieur |
Importants remplissages au sol, largeur de l'ordre de 10 à 15m par endroits |
Pour finir petite visite à la source du Blau pour compléter la culture karstique de Jean-Luc. Le porche ne coule pas mais ça cascade 2m en dessous.
jeudi 14 décembre 2017
Géophysique Cabrespine 2017
Dimanche 10/12/2017
Participants : Les 7 étudiants de la promo, 2 enseignants, André Rieussec, André Tarisse, Etienne.
En soirée au Caput Spina : André Tarisse présente la géologie du secteur, ainsi que l'état des connaissances actuelles sur le fonctionnement hydrologique du ''pseudo-poljé'' de Cabrespine. Quelques discutions autour des informations acquises lors des sessions précédentes et des objectifs de la semaine.
Mercredi 13 Décembre 2017
Participants : Les 7 étudiants, Etienne
TPST : 3 h 30
Découverte de la spéléo pour les étudiants dans la rivière souterraine de Cabrespine.
Nous allons en amont de la salle des éboulis. Ce tronçon est intéressant pour eux. Au départ il y a de grandes galeries avec la rivière, à l'image de ce que l'on peut voir à l'aval sur des kilomètres.
En avançant vers l'amont on voit plusieurs affluents, aux signatures chimiques différentes, apportant plus ou moins de débit au collecteur et provenant en partie d'écoulements détectables avec leurs instruments en surface.
De plus, on peut se frotter à de l'exploration...
Parler de la découverte, des désobstructions avec le passage des chatières (qui regorge de faune cavernicole)... Nous faisons demi-tour à la porte (affluent de Sorrèze).
Le groupe avance très fort, ça tire la bourre dans les passages étroits. Du coup nous remontons tout droit dans l'éboulis !
Nous faisons un tout petit tour (15 min) à l'entrée du vieux conrétionné, voir comment évolue une galerie fossile, sensibiliser à la fragilité des zones concrétionnées, s’émerveiller un peu...
Toute la semaine les mesures en surface s’enchaînent.
Participants : Les 7 étudiants de la promo, 2 enseignants, André Rieussec, André Tarisse, Etienne.
En soirée au Caput Spina : André Tarisse présente la géologie du secteur, ainsi que l'état des connaissances actuelles sur le fonctionnement hydrologique du ''pseudo-poljé'' de Cabrespine. Quelques discutions autour des informations acquises lors des sessions précédentes et des objectifs de la semaine.
Mercredi 13 Décembre 2017
Participants : Les 7 étudiants, Etienne
TPST : 3 h 30
Découverte de la spéléo pour les étudiants dans la rivière souterraine de Cabrespine.
Nous allons en amont de la salle des éboulis. Ce tronçon est intéressant pour eux. Au départ il y a de grandes galeries avec la rivière, à l'image de ce que l'on peut voir à l'aval sur des kilomètres.
En avançant vers l'amont on voit plusieurs affluents, aux signatures chimiques différentes, apportant plus ou moins de débit au collecteur et provenant en partie d'écoulements détectables avec leurs instruments en surface.
De plus, on peut se frotter à de l'exploration...
Parler de la découverte, des désobstructions avec le passage des chatières (qui regorge de faune cavernicole)... Nous faisons demi-tour à la porte (affluent de Sorrèze).
Le groupe avance très fort, ça tire la bourre dans les passages étroits. Du coup nous remontons tout droit dans l'éboulis !
Nous faisons un tout petit tour (15 min) à l'entrée du vieux conrétionné, voir comment évolue une galerie fossile, sensibiliser à la fragilité des zones concrétionnées, s’émerveiller un peu...
dimanche 10 décembre 2017
AG CDS
Le 09/12/2017
Présent SCA : Christiane Gros, Jean-Claude Bourrel, Alain Assemat,
Alain Marty, Laurent Hermand, Henri Guilhem, Denis Poitout, Dominique
Poulain, Jean-Luc Benet, Etienne Fabre.
Je ne donnerai pas de détails, notre
secrétaire Dominque Blet fera passer un CR complet. Nous pouvons
souligner la présence de nos élus, qui cette année encore ont
manifesté tout l’intérêt qu'ils portent à nos recherches
spéléologiques surtout quand elles sont orientées vers la
ressource en eau...
Ronron Grotte du Cirque
le 09/12/2017
TPST : 5 h
Riton, Etienne
A l'entrée Riton teste l'air.
Henri allume la mèche |
Les nombreux passages serrés de la
zone d'entrée, ainsi que la flaque d'eau en pleine étroiture, ont
assuré une bonne protection de la cavité, pourtant sensible !
Nous prenons la direction du réseau
des ailles de papillons, pour revoir le courant d'air ronronnant
décrit par Daniel il y a quelques années sur le blog. Évidemment
nous n'avons pas pu oublier une info de ce type !
Remarquable boxwork |
Le mono-spit hors d'âge nous fait
perdre un quart d'heure et bousiller un boulon avant de réussir à
le récupérer, faute de pouvoir en planter autre, vu qu'Henri,
toujours aussi mal organisé, a le tamponnoir mais pas le marteau ;-)
Bref, cela nous indique que personne n'est descendu revoir ce passage
depuis bien longtemps. Le courant d'air ronronne bel et bien lors des
pics de vitesse des phases d'aspirations, plus longues (40 s en
moyenne) et violentes que les phases soufflantes (15 s). Je m'engage
tête en bas pour essayer de voir un peu à quoi ressemble le
terminus. Rien de bien engageant, quelques petits interstices dans le
remplissage et une petite voûte en poupée de loess qui empêche de
voir vers le haut. J'y retourne avec de la fumée, presque tout l'air
remonte dans la partie que je ne peux pas voir... Le chantier semble
difficile. En pointe c'est désob tête en bas ou séance
recalibrage, pas de stockage sur place, donc nécessité de
recalibrer le petit conduit d'accès pour laisser passer les gamates,
le tout dans un gazage assuré étant donné le fonctionnement du
courant d'air. Une autre solution est envisageable avant le petit
puits d'accès au chantier. Ce petit puits est un soutirage du
remplissage limoneux de la galerie. Si on enjambe le petit puits, la
galerie continue 4 m puis le remplissage vient rencontrer le chenal
de voûte (plongeant). Il n'y a pas d'air mais la suite logique de la
galerie semble par là. Je soupçonne que l'air senti dans la partie
inférieure de la galerie provient de ce même conduit. Le
remplissage se gratterait facilement et il suffirait de l'envoyer
dans le puits au pied duquel il y a un volume important.
Bureau SCA 2018
Dimanche 03 décembre 2017
AG du SCA
Voici la composition du nouveau Bureau :
Président : Dominique POULAIN, Vice-président : Jean-Luc BENET, Présidents d’honneur :
André CAPDEVILLE, Alphonse BENNES, Henri GUILHEM
Trésorière : Denise BARO DELORME, Secrétaire : Denis POITOUT, Secrétaire-adjoint : Alain FAURE, Chargée de communication : Christelle HERMAND.
AG du SCA
Voici la composition du nouveau Bureau :
Président : Dominique POULAIN, Vice-président : Jean-Luc BENET, Présidents d’honneur :
André CAPDEVILLE, Alphonse BENNES, Henri GUILHEM
Trésorière : Denise BARO DELORME, Secrétaire : Denis POITOUT, Secrétaire-adjoint : Alain FAURE, Chargée de communication : Christelle HERMAND.
jeudi 7 décembre 2017
Porte Mine de Rieussec
Pour éviter de nouveaux pillages de concrétions dans la grotte accessible par la mine de Rieussec, nos amis du SCM travaillent à la mise en place d'une porte, en collaboration avec l'ONF (propriétaires).
Le 06/12/2017 Coco, Riton, Etienne
TPES : 3 h
Avec mon fourgon, nous allons au magasin
de bricolage acheter 18 sacs de béton de 35kg. Nous faisons ensuite
bon nombre de voyages à dos d'homme du parking jusqu'au carreau de
la mine.
Le 07/12/2017
Marie, Coco, Stoche, Kinou, Etienne
TPST/TPES 3 h 30
Réalisation du béton pour ensuite
couler le tout dans les coffrages.
Noria de seaux dans le passage bas
Les bâtisseurs
mercredi 6 décembre 2017
AG 2017 du SCA
En ces temps de "puritanisme"....les bouteilles vont peut étre censurées!! |
En l'absence inexpliquée du secrétaire....
Excellente réunion. Avec un renouvellement à la tète de notre association, puisque Jean Luc prend sa retraite (de président!), et le vote unanime nomme Dominique; par contre, même secrétaire: Denis, même trésorière: Denise. L'on ne change pas une équipe qui gagne!
Personnellement c'est ma....41 ème AG du SCA, et ça fou un peu le tournis!...Le vertige du temps!
J'évoque la mémoire de ¨Pierre Marsol. Car cette année auras été une hécatombe chez les anciens, célèbres et plus discrets...Mes deux "parrains"d'Octobre 1974 sont morts: André Sautou il y a 4 ans et Pierre Marsol cette année.
Profitant de pouvoir écrire pour saluer le formidable travail fait par Jean Luc, ça modestie naturelle du telle en souffrir.
Et un grand merci à Denis pour son super résumé de l'activité hors normes de cette année.
Surtout pour son passionnant compte rendu de la découverte du Chandelier, qui marque un tournant Historique de l'aventure de notre CLUB.
L'histoire extraordinaire du Chandelier |
jeudi 30 novembre 2017
dimanche 26 novembre 2017
Mains courante quand tu nous tiens.... |
Vielles stat ramplaçant....des vielles dynamiques |
Topo, lévitation sur vasques et montée des eaux en direct
Samedi 25 Novembre 2017
Trou du Chandelier
Participants : Jean-Luc, Henri, Dom, Laurent
TPST : 9h30
Arrivés sous une pluie battante, le début de matinée est consacré au ré-aménagement du parking avec pelles, pioches et brouette. Cette fois devrait être la dernière...
Ensuite, on se divise sous terre en deux binômes : Jean-Luc et Henri continuent le contournement des vasques (équipement fixe), pendant qu'avec Dom nous partons poursuivre la topo en direction du fond.
La première partie du réseau demande plus d'efforts que d'habitude pour éviter l'eau mais on parvient encore à tout franchir à sec. On sait à présent que par débordements successifs des gours, tout va finir par se remplir jusqu'au niveau d'équilibre bien matérialisé sur les parois.
Il semble cependant possible, moyennant travaux, de tout éviter par mains courantes et fils clairs, en restreignant la zone de navigation obligatoire à une cinquantaine de mètres.
On verra au fur et à mesure...
Nous démarrons la topo à "la piscine" et enchaînons 740m de relevés jusqu'à la grande galerie des blocs suspendus. L'ambiance est vraiment belle dans la deuxième partie également, avec de nombreux nouveaux gours et petits lacs à l'eau bleue-verte qui agrémentent le parcours sans pour autant le stopper.
Par exemple, au pied de "la cascade" de 7m, la corde trempe dans un profond bassin d'une vingtaine de mètres de long pour 2m de fond par endroit...
Comme souvent en topo, les observations minutieuses permettent de nouvelles découvertes.
La moisson du jour : d'admirables planchers anciens suspendus, un gisement de gypse poussant sur une roche noirâtre intercalée dans le calcaire, des cristaux triangulaires et rectangulaires dans un joli gour, et cerise sur le gâteau; deux squelettes de chauve souris distants de 2m et en partie calcités (alors que nous avons 200m de rocher sur la tête à 2km de l'entrée). Nouvelle énigme...
Arrêt topo à 18h. Sur le chemin du retour, nous remarquons une augmentation du débit des arrivées depuis le matin.
Au niveau de l'aplomb du franchissement de la vallée sèche de surface, le bruit se fait plus fort : ce sont une multitude de cascades qui arrivent, se canalisent en actif au sol puis sont recapturées par de petits méandres au ras du sol. Quelques heures de pluie suffisent donc à présent pour qu'une réaction se déclenche.
Nous rejoignons Jean-Luc et Henri qui aménagent l'ancien terminus de la première partie. En aval, plus de captures : tous les actifs déboulant du plafond se donnent en spectacle et alimentent directement les gours et bassins, qui se déversent les uns dans les autres et dont les niveaux augmentent à vue d'oeil. Une petite crue en direct...
Sortie malgré tout sans encombres à 20h30.
Trou du Chandelier
Participants : Jean-Luc, Henri, Dom, Laurent
TPST : 9h30
Arrivés sous une pluie battante, le début de matinée est consacré au ré-aménagement du parking avec pelles, pioches et brouette. Cette fois devrait être la dernière...
Ensuite, on se divise sous terre en deux binômes : Jean-Luc et Henri continuent le contournement des vasques (équipement fixe), pendant qu'avec Dom nous partons poursuivre la topo en direction du fond.
La première partie du réseau demande plus d'efforts que d'habitude pour éviter l'eau mais on parvient encore à tout franchir à sec. On sait à présent que par débordements successifs des gours, tout va finir par se remplir jusqu'au niveau d'équilibre bien matérialisé sur les parois.
Il semble cependant possible, moyennant travaux, de tout éviter par mains courantes et fils clairs, en restreignant la zone de navigation obligatoire à une cinquantaine de mètres.
On verra au fur et à mesure...
Nous démarrons la topo à "la piscine" et enchaînons 740m de relevés jusqu'à la grande galerie des blocs suspendus. L'ambiance est vraiment belle dans la deuxième partie également, avec de nombreux nouveaux gours et petits lacs à l'eau bleue-verte qui agrémentent le parcours sans pour autant le stopper.
Par exemple, au pied de "la cascade" de 7m, la corde trempe dans un profond bassin d'une vingtaine de mètres de long pour 2m de fond par endroit...
Comme souvent en topo, les observations minutieuses permettent de nouvelles découvertes.
La moisson du jour : d'admirables planchers anciens suspendus, un gisement de gypse poussant sur une roche noirâtre intercalée dans le calcaire, des cristaux triangulaires et rectangulaires dans un joli gour, et cerise sur le gâteau; deux squelettes de chauve souris distants de 2m et en partie calcités (alors que nous avons 200m de rocher sur la tête à 2km de l'entrée). Nouvelle énigme...
Arrêt topo à 18h. Sur le chemin du retour, nous remarquons une augmentation du débit des arrivées depuis le matin.
Au niveau de l'aplomb du franchissement de la vallée sèche de surface, le bruit se fait plus fort : ce sont une multitude de cascades qui arrivent, se canalisent en actif au sol puis sont recapturées par de petits méandres au ras du sol. Quelques heures de pluie suffisent donc à présent pour qu'une réaction se déclenche.
Nous rejoignons Jean-Luc et Henri qui aménagent l'ancien terminus de la première partie. En aval, plus de captures : tous les actifs déboulant du plafond se donnent en spectacle et alimentent directement les gours et bassins, qui se déversent les uns dans les autres et dont les niveaux augmentent à vue d'oeil. Une petite crue en direct...
Sortie malgré tout sans encombres à 20h30.
lundi 20 novembre 2017
Le Chandelier prend l'eau, mais ça passe
Dimanche 20 novembre 2017
Trou du Chandelier
Participants : Alain M., Jean-Luc, Julie, Dom, Denis
Photos : Julie
Plusieurs objectifs pour cette sortie : découvrir le trou pour Alain, repérer l'état aquatique de la 1ère partie (il a plu 60 mm 2 semaines plus tôt), équiper ce qui peut l'être, faire une escalade que Dom avait repérée au début de 2è partie.
Descente à 10h30 pour une fois sans stress dans la trémie (beau travail les gars). Le puits a aussi été aménagé "grand luxe" : grosse corde, lames enlevées, merci Henri.
En bas, le début est sec (100 m environs), puis on a vite la sensation d'être dans un grand bateau qui a pris l'eau...C'est impressionnant et magnifique, une nouvelle cavité s'ouvre à nous. On cherche son passage à hauteur de bottes, comme à Cabrespine, sur plusieurs tronçons. L'ambiance est la même qu'à Cabrespine, mais la comparaison s'arrête là : le sol boueux est glissant et très irrégulier, des bosses masquent des creux profonds, les rebords des parois s’effondrent au passage... Et si le 1er peut voir la profondeur, les suivants n'ont droit qu'à une eau boueuse. Au fait, qui n'est pas passé à l'eau dans ce trou ??? Donc la question d'équiper des passages même "faciles" ne s'est pas posée longtemps (le temps d'une glissade...).
- Equipement du passage décrit par Henri au début : 8m.
- 2è main courante retendue pour ne pas se mouiller les fesses.
- Corde pour jonctionner la Vire : 3m. Main courante de la Vire retendue au max. (l'eau est 10cm au dessus de la Vire).
- Corde ascendante avant la 1ère soufflerie : 8m.
La 1ère soufflerie est sans eau.
- Après la soufflerie, de mémoire il y a 2 mains courantes. Après mangé (13h30), on en a équipée une 3è : 15m, avec un passage délicat en dévers.
Puis plus de problème jusqu'au terminus 1. Long passage sec. Passage supérieur sur cordes, Boîte aux lettres : 20cm d'eau sur les blocs mais ça passe au sec.
Avant la Piscine : gours au ras des bottes, passages en équilibre. Jean-Luc, Julie et Alain s'arrêtent là vers 15h30.
Piscine : 30cm de plus (idéal pour les plongeons :-))
A 16h on est en haut du passage équipé de marches qui montent avant de redescendre derrière la grosse coulée. On est bien entamés, avec nos kits lourds. Je propose à Dom d'escalader la coulée qui a l'air facile : au dessus, on voit un départ de 6m de large...
Après 5 m en libre, je me rends compte que la coulée est pourrie : le perfo rentre dedans comme dans du beurre mouillé. Un lancer 5 m plus haut finit par attraper 2 belles stalagmites. Remontée en se faisant léger... j'arrive à un palier. La coulée se prolonge moins raide et me cache le passage. La paroi de gauche est en dévers, mais heureusement en vrai rocher (hyper dur d'ailleurs) : 2 goujons + 1 nat plus haut, après des contorsions éprouvantes sur étriers et un rétablissement sur des prises terreuses, j'atteins le haut de la coulée : elle est bouchée !! 22m d'escalade pour ça ! Je redescends comme je suis monté pour récupérer le matériel, puis rappel sur grosse colonne.
18h : Le retour en faisant les équilibristes dans les gours est aussi éprouvant. Seule consolation, on sort plus propre ! 19h30 bas du puits, 20h en haut. Jean-Luc nous a attendu en mode survie dans le trou voisin : il est prêt pour les futurs bivouacs...
TPST : 9h30
Trou du Chandelier
Participants : Alain M., Jean-Luc, Julie, Dom, Denis
Photos : Julie
Plusieurs objectifs pour cette sortie : découvrir le trou pour Alain, repérer l'état aquatique de la 1ère partie (il a plu 60 mm 2 semaines plus tôt), équiper ce qui peut l'être, faire une escalade que Dom avait repérée au début de 2è partie.
Descente à 10h30 pour une fois sans stress dans la trémie (beau travail les gars). Le puits a aussi été aménagé "grand luxe" : grosse corde, lames enlevées, merci Henri.
En bas, le début est sec (100 m environs), puis on a vite la sensation d'être dans un grand bateau qui a pris l'eau...C'est impressionnant et magnifique, une nouvelle cavité s'ouvre à nous. On cherche son passage à hauteur de bottes, comme à Cabrespine, sur plusieurs tronçons. L'ambiance est la même qu'à Cabrespine, mais la comparaison s'arrête là : le sol boueux est glissant et très irrégulier, des bosses masquent des creux profonds, les rebords des parois s’effondrent au passage... Et si le 1er peut voir la profondeur, les suivants n'ont droit qu'à une eau boueuse. Au fait, qui n'est pas passé à l'eau dans ce trou ??? Donc la question d'équiper des passages même "faciles" ne s'est pas posée longtemps (le temps d'une glissade...).
- Equipement du passage décrit par Henri au début : 8m.
1er passage |
On marche sur l'eau |
- 2è main courante retendue pour ne pas se mouiller les fesses.
- Corde pour jonctionner la Vire : 3m. Main courante de la Vire retendue au max. (l'eau est 10cm au dessus de la Vire).
Gour de la Vire (à g.). Ces pantalons ont l'air mouillés... |
Début de la vire |
La Vire avec 2m d'eau |
Au bout de la Vire |
Jean-Luc |
- Corde ascendante avant la 1ère soufflerie : 8m.
Dom et Alain |
La 1ère soufflerie est sans eau.
- Après la soufflerie, de mémoire il y a 2 mains courantes. Après mangé (13h30), on en a équipée une 3è : 15m, avec un passage délicat en dévers.
Passage du dévers |
Puis plus de problème jusqu'au terminus 1. Long passage sec. Passage supérieur sur cordes, Boîte aux lettres : 20cm d'eau sur les blocs mais ça passe au sec.
Avant la Piscine : gours au ras des bottes, passages en équilibre. Jean-Luc, Julie et Alain s'arrêtent là vers 15h30.
Piscine : 30cm de plus (idéal pour les plongeons :-))
A 16h on est en haut du passage équipé de marches qui montent avant de redescendre derrière la grosse coulée. On est bien entamés, avec nos kits lourds. Je propose à Dom d'escalader la coulée qui a l'air facile : au dessus, on voit un départ de 6m de large...
Après 5 m en libre, je me rends compte que la coulée est pourrie : le perfo rentre dedans comme dans du beurre mouillé. Un lancer 5 m plus haut finit par attraper 2 belles stalagmites. Remontée en se faisant léger... j'arrive à un palier. La coulée se prolonge moins raide et me cache le passage. La paroi de gauche est en dévers, mais heureusement en vrai rocher (hyper dur d'ailleurs) : 2 goujons + 1 nat plus haut, après des contorsions éprouvantes sur étriers et un rétablissement sur des prises terreuses, j'atteins le haut de la coulée : elle est bouchée !! 22m d'escalade pour ça ! Je redescends comme je suis monté pour récupérer le matériel, puis rappel sur grosse colonne.
18h : Le retour en faisant les équilibristes dans les gours est aussi éprouvant. Seule consolation, on sort plus propre ! 19h30 bas du puits, 20h en haut. Jean-Luc nous a attendu en mode survie dans le trou voisin : il est prêt pour les futurs bivouacs...
TPST : 9h30
Samedi 18 novembre 2017 sortie photo-vidéo
TRAOUC DE L'EMBUC / CABRESPINE
Participants : Alain A., Didier B., Alain et William B., Pierre B., Olivier C., Alain F.
TPST : 6h ; sortie vidéo - photos
Participants : Alain A., Didier B., Alain et William B., Pierre B., Olivier C., Alain F.
TPST : 6h ; sortie vidéo - photos
Nous revenons dans cette belle cavité faire un complément de photos et d'images HD. Début des descentes à 9H, quelques séquences vidéo dans les puits, 10h tout le monde est en bas.
Photo et vidéo salle du bas, la remontée, le lustre d'aragonite, la Tour de Pise, le Boyau Touffu, les Petits Baigneurs (toujours même niveau d'eau). Casse-croûte et continuation vers la Craquette en poursuivant le travail sur les innombrables bouquets d'aragonites coralloïdes et autres excentriques. Toujours un pur bonheur, Alain et Didier qui ne connaissaient pas sont ravis. Vers 14h30 début du retour et des remontées sans trop de problèmes, l'équipement du puits "embuc" est top et permet de ne pas trop coincer. Vers 17h on est tous dehors en bon état. Quelques photos d'Olivier (compressées)
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