mardi 30 octobre 2012


Jeudi 25 Octobre
participants : Jean Claude, Claire, François, Jean Marie
TPST : 8 heures



Sortie d'initiation spéléo pour notre guide de ski de rando. Traversée par Mate Arnaude prévue mais divers avis autorisés avaient prédit de façon certaine la mise en charge du siphon. On est donc allés aux Dômes. Mais il fallait quand même donner un aperçu de notre activité autre qu'une simple ballade. J'ai donc amené François au siphon, manière de le tester en ramping ; aucun problème pour lui. Peu d'air dans le conduit... mais le siphon est sec comme une trique ! Comme quoi, les certitudes météorologiques...

lundi 29 octobre 2012



Vendredi 26 Octobre 2012:
Re belote Font de Dotz-Bugarach.
Cette fois ci avec ma chère CORINE et son ex beau fils Greg,pour qui c'est les premiers pas sous terre.
Traditionnelle initiation basique sur le chêne du parking...ou CORINE révise aussi...car elle n'a pas touché une corde depuis le printemps.Passage de hendrick et Marie Anne.
Visite des gypse king,ou une petite chauve souris nous fait la facétie de volet au bon endroit sur une photos de perspective de galerie..
Puis remontée cette fois ci,les niveaux d'eaux ayant baissé,jusqu'à la première vasque de -26,au milieu du réseau.
Les creusements m'étonnerons toujours ici....dans ce calcaire si peu engageant en surface!
TPST:4H

Bienvenue à Cédric

Le Club n'arrête plus de recruter... Les Journées Nationales de la Spéléologie 2012 sont un bon cru!!! Déjà 4 nouveaux membres!
Bienvenue à Cédric, copain d'Etienne qui habite à Sallèles Cabardès et qui vient de s'inscrire au Club !
Ses coordonnées sont dans le listing des membres dans la partie "accès réservé" sur le site du Club (ligne 65), ou vous pouvez me contacter si vous ne savez pas y accéder.
Ne pas hésiter à lui proposer quand vous faites une sortie. A bientôt.

Séance musclée au trou de la Pause


Dimanche 28 Octobre 2012 participants : Jean Luc, Patrick, Jean Michel, Henri, Michel, Laurent ainsi que Seb et Nico du 66
TPST : 9h

Nous avons rarement (jamais ?) été aussi nombreux pour une désobstruction dans ce coin paumé des Corbières.
Nous partons avec toute la capacité de percage sans fil dont le club dispose : deux perfos et cinq accus chargés. Le but est de franchir en une fois la voûte arrondie bien résistante qui nous avait stoppés la dernière fois.

Le trou s'est bien remis en eau, le méandre coule comme en hiver et certains en sortirons mouillés. Les crues de ces derniers jours semblent avoir été puissantes car les sédiments sont bien décapés. La trémie est entièrement nettoyée et a tenu bon. Tant mieux...
Pendant qu'une partie de l'équipe s'occupe du chantier du fond, l'autre partie élargit la sortie du siphon fossile que nous avions pu franchir dans les dernières minutes de la précédente journée de travaux.
Michel puis Nico vont explorer la faille aval capturant un petit actif : 5m puis une lame barre le passage, vue sur 5m suppléméntaires, plus larges, mais courant d'air absent. Cette partie pourra donc servir de stockage le cas échéant.

Aujourd'hui, l'inertie dans le travail est quasiment nulle, l'aspiration est forte et permanente, avec des moments d'accélération surprenants, ce qui permet un retour sur place instantanément après chaque séance.

A la mi-journée, trois mètres ont été ouverts et on voit mieux la sortie : la conduite prend de la hauteur et devient méandre après un coude. La pause bouffe en plein zef glacé est une vraie torture et sera écourtée.

Une dernière série de trous et de déblayage, et on parvient à passer. La suite est un méandre de 2m de haut environ dont la largeur varie de 30 à 80cm. Une partie étroite de 2,5m de long sera à calibrer pour pouvoir passer sans s'allonger dans le surcreusement. Ensuite c'est mieux, on avance plein Est, vers le coeur de la charnière liée à la faille du col de la Lucio. Le conduit est horizontal et des blocs corrodés jonchent le milieu du méandre. Une lucarne en hauteur laisse apercevoir également du vide au dessus. Tout droit on s'arrête sur une étroiture ponctuelle presque passable, ça continue derrière...En dessous, on aperçoit un petit actif temporaire. On ne sait ni d'où il arrive , ni où il va. Décidément cette zone est d'une complexité incroyable dans sa genèse, seul le courant d'air peut nous guider...et il va tout droit.

Un choix s'impose et il est déjà tard, on continue à calibrer ou on perce au fond ? Ceux qui n'ont pas bossé depuis une demi-heure sont frigorifiés et commencent à remonter. Je décide d'éliminer l'étroiture terminale pendant que Nico finit l'accu sur le front de calibrage. Le déblayage et la suite devront attendre la prochaine sortie...

On retrouve la fraicheur extérieure vers 18h30 et on ne s'attardera pas en discussions aux véhicules.
En résumé, c'est pas encore un boulevard mais on avance toujours. Le trou dépasse à présent les 600m de développement, nous sommes à - 60 par rapport à l'entrée et à - 80 par rapport à la surface, sous les grès du Turonien


dimanche 28 octobre 2012

Désob au trou du Vent du Pédrous

Trou du Vent du Pédrous Belesta 13 et 14 Octobre 2012
TPST : 6 + 5 heures
Nestor, Eric, Mayou, Jeanne, Jean Marie
Après réparation de mon ordi qui a fumé lors de l’orage de dimanche dernier je rattrape mon retard de publication.
Nous équipons l’entrée haute et arrivons rapidement sur le chantier. Mayou avait repéré il y a plusieurs années un petit méandre impénétrable. Il avait jeté des cailloux qui rebondissaient et s’écrasaient au fond d’un puits estimé à une vingtaine de mètres. Avec Nestor, Alain et Eric, membres de mon ancien club (SSPCV) nous en sommes à notre 3° WE. En 2011 nous nous sommes arrêtés en fin de méandre. Un bloc nous barrait l’accès à une petite poche. Il était tard et les gaz nous avaient empêchés de progresser.
Nous déblayons les blocs. Un tir de confort permet de passer. Le détecteur de CO nous rassure (à moitié) sur la concentration en monoxyde. Nestor grimpe une cheminée qui se termine sur la voûte. Pas de suite possible et aucune trace du puits. Nous ricanons sur les hallucinations de Mayou. Ce dernier persiste dans son délire…
Pour lui faire plaisir je gratte le fond du méandre et sous les blocs je tombe sur… un gisement de glaise bien collante. Nouveaux ricanements. Le bougre insiste. Je gratte un peu plus haut à l’entrée du méandre . Soudain, sous 2 petits rochers apparaît un carré noir de 20 cm sur 20. Dessous les graviers tombent sur une bonne dizaine de mètres. En fait le puits/méandre était obturé par un plancher stalagmitique. Le 1° tir il y a deux ans avait bouché le petit orifice et nous avions progressé à l’horizontale au dessus du puits.
Un tir de dégagement et nous ressortons (gaz stagnants). Le lendemain l’air est plus libre. Le puits descend d’une bonne douzaine de mètres. Il aspire légèrement. Au fond il s’horizontalise et le coude empêche la progression. Dernier tir et nous ressortons. Le courant d’air est bien présent mais très faible (conditions d’équilibre thermique). Le temps de dissipation des gaz est très lent. Dans ces conditions il est préférable que la désob soit poursuivie par une équipe locale.
Cette désob me motive pour d’autres. Tant que l’on n’a pas déblayé le dernier caillou on ne peut pas affirmer qu’il n’y a pas de suite !


Sortie vidéo du samedi 27 octobre


GROTTE DU MACOUME (Commune d'Olargues)

Rédaction fiche : Alain Faure
TPST : 7 h
Participants : Isabelle Mad, Gaëlle NIEL, Véronique RIEUSSEC, Daniel CONSTANS, Alain, Solange, Bastien et William BONDOUY, Alain FAURE.

Le ruisseau que l'on remonte pour atteindre l'entrée de la grotte ne coule pas, l'eau se perd un peu plus haut, ça devrait donc aller dedans.
On attaque donc, direction le point d'arrêt de la dernière fois. Visite au préalable pour ceux qui ne connaissent de la salle de la grande fistuleuse et de la chapelle sixtine.
On reprend et l'on se dirige vers l'une des branches principales qui s'achève sur la grande salle terminale. Je veux profiter du nombre de participants pour faire du volume. Dans cette salle un disque énorme porte une trentaine de fistuleuses dont beaucoup font 3 à 4 m. Superbes coulées et le "pouce".
Retour en faisant les différents passages caractéristiques. Les siphons sont pleins, il n'y aura pas l'accès vers le réseau A365. On a suffisamment à faire. On passe un très long moment dans la galerie blanche puis dans le couloir des fistuleuses. Encore du très bon boulot de fait grâce à la patience de tous.

avantage de la caméra sur la photo (n'est-ce pas Olivier ....!)
nb: qualité de lecture complètement pourrie sur le blog


Les oliviers c'est de saison



Samedi 27 Octobre 2012
Jean Marie, Etienne
TPST : 9h

Fin de la topographie, un peu d'explo et quelques mètres de première par ci par là. Il me tarde de voir la topo, à mon avis c'est pas fini il faudrait bien fouiller. En fonction de ce que nous dira la topo certaines étroitures mériteraient d'être élargies dont une que je ne suis pas prêt d'oublier. La leçon du jour est : c'est pas parce que le torse et le bassin sont passés que c'est gagné, les jambes c'est long aussi . Enfin derrière c'est une belle grande faille, une des plus à l'Ouest du système, certainement que l'on a accès à une partie supérieure de cette même faille un peu plus loin. Cette cavité mérite encore quelques explos !

vendredi 26 octobre 2012

Bienvenue à Fabienne

Bienvenue à Fabienne qui habite à Puivert et qui vient de s'inscrire au Club !
Après une initiation à Cabrespine lors des JNS, voici Fabienne très motivée pour retourner sous terre.
Ses coordonnées sont dans le listing des membres dans la partie "accès réservé" sur le site du Club (ligne 55). Ne pas hésiter à lui proposer quand vous faites une sortie.
A+
christelle

jeudi 25 octobre 2012


Eliane et Christian unis comme toujours


Dimanche 21 Octobre 2012:
Initiation-Découverte...RE

Il y a quelques temps,ayant rencontré Jeff au relais de Bugarach,il m'a relancé pour découvrir l'activité.
Rien de mieux que d'aller a la Font de Dotz...puisque l'on est a Bugarach...sans aller obligatoirement sous le Pech!
Patrick est venu me prêter main forte pour l'encadrement,et sur place l'on rejoint Franck un vrai "Bugarachoi",qui, c'est légitime,veut aussi découvrir ces fameuses entrailles de sa commune!
Initiation des principes de base sur le bien sympathique chêne non loin de l'entrée.
Descente en fin de matinée.Pendant que Patrick fait visiter les gypse'Kings aux deux novices,j'équipe dans le plafond de la salle du cercle restreint,un petit atelier sur corde(5spits).La hauteur est bien modeste...mais aussi largement sufisante pour quelqu'un qui n'a jamais mis un harnais et vue une corde statique.Une montée plein pot de 7M avec un léger pendule pour ce rétablir sur le palier et une montée parallèle avec un fractio.Avec quand même des prises pour les pieds!Les pluies de ces dernières heures ce font sentir, et je n'ai jamais vue autant d'humidité ici:le siphon et la galerie des Anoures sont plein a ras bord...avec un courant impressionnant.L'on tente de progresser vers l'amont...mais l'on est vite arrêté par un passage bas..ou il faudrait totalement ce baquer...
Malgré cette sortie écourtée,les deux sont tout a fait emballés.Devant une bière au Relais...ils sont même près a prendre la cotise...Ne connaissant pas encore,les nouvelles disposition que Christelle me détaillera plus tard...et vue la proximité de l'AG...je leur conseille de continuer avec le système spélécarte.
Affaire a suivre...TPST:4H15

mercredi 24 octobre 2012

Plus d’espoir au fond du puits “G”


Dimanche 21 Octobre TPST 6 heures
Trou de la Dent Trassanel ; Jean Claude, Jean Marie
 
Matinée et début d’ap-midi à vider les déblais de la dernière intervention de Guillaume. Le bas du Puits « G » est enfin débarrassé de tous les décombres. Le sol du diverticule terminal sonne creux. Bref espoir qu’il y ait un vide mais il ne s’agit que d’un fin plancher de calcite reposant sur un remplissage de bouillasse. Cette partie est déclarée sans espoir de continuation.
Elargissement de l’accès à l’alcôve découverte par Jean Michel en Juillet. Avec Guillaume on avait bien repéré une arrivée d’air : lors de notre précédent tir le détecteur de CO qui montait à 85/90 dans toutes les directions chutait à 20 dès qu’on le rapprochait d’une faille. Nouvelle manière de pister les courants d’air…
Nous restockons les déblais du puits dans cette petite salle.
Elargissement de la faille avant de partir. Même en prenant notre temps nous n’avons pas vu les gaz ressortir, c’est la 1° fois dans cette cavité.
A revoir en espérant que notre intervention n’ait pas trop destabilisé la trémie.






CHRISTIAN ET ELIANE



TEXTE ET PHOTO DU MIDI LIBRE
Limoux Un couple de Chalabre a disparu au large d'Ajaccio
B. C.
24/10/2012, 06 h 00


Even et Chris (leurs noms d'artistes), en juillet 2011 lors d'une exposition à Chalabre. (© D.R)

Un couple de Chalabrois : Éliane Ventenat et Christian Wallon, âgés d'une soixantaine d'années, ont disparu en mer depuis le 11 octobre au large d'Ajaccio, en Corse, à bord d'une embarcation pneumatique de 3,60 m. La météorologie était parfaite : mer belle, visibilité à 25 km et un vent de 16 km/h (9 nœuds). Une enquête judiciaire a été ouverte dans le cadre d'une procédure de disparition inquiétante. "Il s'agit d'une procédure habituelle en cas de disparition non expliquée", nous a-t-on déclaré à la brigade de gendarmerie de Pietrosella, qui dépend de la compagnie d'Ajaccio. Le couple, qui possédait une maison dans le village de Coti-Chiavari, avait tracté le canot pneumatique avec son véhicule jusqu'à un parking situé en bord de mer, sur la plage de Protiglilo. C'est d'ailleurs à cet endroit que la voiture a été retrouvée. Éliane Ventenat et Christian Wallon devaient reprendre le ferry en direction de Marseille le mercredi 10 octobre. Le jeudi 11 octobre au matin, n'ayant aucune nouvelle, leurs proches ont donc alerté les gendarmes. Le couple était pari sans radio et leurs téléphones portables étaient sur messagerie. Les recherches ont débuté le jeudi et se sont terminées le lendemain vendredi 12, ainsi que l'indiquent nos confrères de Corse Matin. Elles ont été menées par une vedette de la gendarmerie maritime, une autre de la brigade nautique de la gendarmerie d'Ajaccio, et des hélicoptères de la Sécurité civile et de l'armée. "Je sais qu'ils étaient partis à bord de leur canot pneumatique pêcher le calamar et depuis, on n'a plus de nouvelles", confiait hier Christian Guilhamat, le maire de Chalabre. "Hier, je suis allé avertir les gendarmes de la brigade qui eux-mêmes n'étaient pas informés. Pour l'instant, je n'en sais pas davantage mais ce qui m'étonne, c'est qu'un canot pneumatique ne coule pas comme ça. À moins que les vents qui venaient de la terre ne l'aient emmené loin au large. En tout cas, Éliane Ventenat et Christian Wallon étaient deux personnes intéressantes, très impliquées dans la vie culturelle. S'ils ont disparu, c'est une grande perte". Éliane Ventenat et Christian Wallon habitaient Chalabre depuis une dizaine d'années. Elle était peintre et écrivain, et lui photographe. "Ils ont organisé ou participé à de nombreuses expositions et je crois qu'ils étaient également enseignants au Cned (Centre national d'enseignement à distance)", confie un villageois qui, lui, a appris la nouvelle en regardant FR 3 Corse la semaine dernière. "À ce jour, nous n'avons toujours pas retrouvé le couple", déclarait hier après-midi un officier du "Cross Méditerranée", le service chargé de la recherche et du sauvetage en mer : "Désormais, l'affaire suit un cours judiciaire. Mais les disparitions en mer ne sont pas rares". 

GUIDAGE ROQUEBLEU



Samedi 20 Octobre avec le spéléo-club Fontaine de Vaucluse
Rédaction de la fiche: Alain FAURE
Guidage très tranquille en petit comité, seulement 2 participants: Eric et Anne Haller
Entrée vers 11 h, sortie 16 h.
Visite classique de la cavité en prenant vraiment son temps: galerie du Sable, Volcans, Zoubida.
Sortie vraiment agréable avec des spéléos très sympa et intéressés par la cavité. On les reverra sûrement pour Lauzinas. De nombreuses photos ont été faites, un échantillon en suivant.





























dimanche 21 octobre 2012



Bonjour, un specimen  de chauve souris  a été découvert  dans un quartier des Sables d'Olonne. J'en ai fait une photo que voici. féfé bonne semaine a tous


Jean-Claude et les filles

Participants : Denise, Geneviève, Christiane, Christelle et Jean Claude

Après Hélène et les garçons voici Jean-Claude et les filles!!
Samedi 21 octobre, nous avons passé une agréable matinée au réseau II de Trassanel, en profitant de l'occasion pour initier Denise, Geneviève et Christiane à la corde.
TPST : 2h15


Philippe nous a rejoint le midi. Après un repas convivial chez Christiane et JClaude,  entre deux averses, nous sommes allés à la grotte de Cibelle, où nous avons réussi à trouver la déesse (cf message de JPP). La grotte nous a paru encore plus jolie sous les lumières des Scurions.
TPST : 1h

samedi 20 octobre 2012



A L'ATTENTION DES MEMBRES DU SPELEO CLUB DE L'AUDE :

"Un soliste qui donne un concert offre au public son talent,son inspiration,le fruit de tout un long travail.Mais le public n'a aucune conscience de ce travail,s'il fait du bruit ou même seulement s'il est inattentif,le musicien le sent et,même s'il est le plus grand virtuose du monde,il ne peut pas donner tout ce dont il serait capable,car les échanges ne se font pas correctement.Mais il peut arriver que,se tournant vers la salle,il découvre un seul regard émerveillé,ravi.Alors il se met a jouer pour ce regard,dont il n'a peut être pas discerné si c'est celui d'un homme ou d'une femme,pour cette lumière qui brille,là bas,dans l'obscurité,et il devient génial.
L'être humain a besoin,de quelque façon que ce soit,de sentir un écho de ces actes,à ces paroles.S'il n'y a pas de réciprocité,aucun échange n'est plus possible.Or,l'échange est la loi de la vie".

Signé:Omraam Mikhael Aivanhov.....ayant habité a Trassoulas a coté d'Espezel.....et répertorié par les
"autorités"comme un gourou ayant fondé une secte(la fraternité Blanche).....ce qui en dis long....sur le niveau
spirituel de ces dites "autorités"!!!!

jeudi 18 octobre 2012



JOURNEES  NATIONNALES  DE  LA  SPELEOLOGIE

Comme l’a déjà détaillé Christelle, ces journées ont obtenu cette année un énorme succès Leur notoriété s’est étendue bien au-delà de notre frontière départementale puisque l’Hérault, le Tarn, la Haute Garonne, l’Ariège et les P O étaient représentés. L’âge des participants était aussi très varié et de nombreux enfants sont venus découvrir ce monde des ténèbres.
Un but écologique :
L’initiation, si elle se veut en grande partie sportive, est l’occasion de toucher du doigt l’importance du milieu souterrain. Sur terre, l’eau joue un rôle primordial, indispensable à la vie. Tout un chacun connaît son parcours et son cheminement depuis la source, les ruisseaux et rivières pour aboutir dans les mers et océans. Le phénomène d’évaporation, le transport par les nuages et la pluie permettent son retour sur terre. Mais entre le moment ou cette eau prend contact avec le sol, s’infiltre et ressort à la source, il existe un processus totalement invisible. Ce petit voyage de quelques heures au « centre de la terre » permet aux nouveaux initiés de mieux appréhender le rôle majeur que joue la croûte terrestre dans la purification de l’eau. Cette eau qui pénètre dans le sol va petit à petit se filtrer et se délester de l’excédent des matériaux et minéraux rencontrés sur son passage. Les grottes et les vides souterrains se comportent comme de véritables tubes digestifs. Le visiteur est ébahi par cette étrange et complexe alchimie Elle se traduit par une grande variété de phénomènes et une multitude de concrétions plus ou moins colorées. Ce cheminement, qui se reproduit des milliers de fois au cours des âges est indispensable à la purification de l’eau. Il est énormément plus efficace que n’importe quelle système crée par l’homme.
La démonstration et l’explication de ce phénomène souterrain sont écoutées de manière attentive par les spéléologues en herbe Aujourd’hui, certains projets donnent froid dans le dos et portent atteinte à cette fonction. La préservation de ce milieu très précieux doit être une priorité qui paraît alors plus évidente aux yeux des initiés. C’est aussi le but de ces journées.
Une légende dans ce monde mystérieux :
La beauté de certaines cavités paraît parfois surnaturelle. Quoi de plus facile alors que d’évoquer des légendes, pour le plus grand plaisir des jeunes visiteurs. Il en est ainsi d’une grotte qui est d’une belle et rare beauté. Elle est tellement merveilleuse que Cybèle, la déesse de la terre, l’a choisi comme demeure. Pour son malheur, par une froide journée de janvier, son palais a été pris d’un grand frisson. Quatre personnages, en tenue spéléo brisent la porte d’entrée et violent sa demeure. Les cris poussés devant la découverte de tels trésors font vibrer les parois. Cybèle, surprise dans son sommeil et très épouvantée s’enfuit précipitamment. Pour son malheur, en traversant la paroi, elle laisse une partie de son cops dénudé imprégné dans la roche. C’est ainsi que l’on peut aujourd’hui admirer la belle anatomie de cette déesse qui donna en partie son nom à la grotte.
                                                                      
                                      Photographie de Jacky Fromont, initié aux JNS 

                                                                       
                                                                      

lundi 15 octobre 2012

PORTES DISPARUS


Daniel Mas a mis en commentaires sur mon dernier compte-rendu de sortie du 13 octobre à Roquebleu le texte suivant dont je me fais le relais pour que tous les collègues puissent en prendre connaissance:

" Christian Vallon et Eliane Ventenat, membres émérites du spéléo club de l'aude depuis 2 décennies au moins, sont portés disparus en mer de Corse depuis Mardi soir!!!! Les autorités maritimes, gendarmerie, etc déploient tous leurs moyens pour les retrouver, sans résultats jusqu'à présent....Internet,Fr3 Corse, ce soir encore le reportage à leur sujet est visible."


malgré les jours écoulés on va espérer une issue heureuse

alain

dimanche 14 octobre 2012

Sortie vidéo samedi 13 octobre


Grotte de ROQUEBLEU

Participants : Alain ASSEMAT - Alain MALRIC - Isabelle MAD - Cathy JACQUIRI - Alain, William et Solange BONDOUY - Alain FAURE
Rédaction fiche : Alain Faure
Photos : Alain Assémat
TPST : 6h

Nous nous retrouvons à 9 h 30 sur le parking devant la grotte avec un petit vent hivernal et 4 Alain d'un coup, un record.
Malric emmène Assémat et Isa qui ne connaissent pas voir la Galerie du Sable et la Zoubida. Pour le reste de l'équipe on va attaquer la suite et fin du film sur cette cavité à partir du Tigre. Quelques vues des marbres bleus, des aragonites jaunes, le grand gour tapissé de calcite flottante; on enchaîne les séquences cheminement et concrétions. Un moment plus long dans la grande salle des schistes. On sort finalement assez tôt, il est 16 h, fin de cette 6° sortie film sur cette grotte, j'ai l'intégrale.
Alain Assémat s'est essayé à la photo souterraine, quelques-unes pour illustrer la sortie.