Samedi 15 Octobre 2011
TPST 7 heures
David, Elodie, Jean Marie
Alain, Nestor, Eric (SSPCV)
Claude, Jeanne et leurs amis du Plantaurel
Nous nous retrouvons à 10h30 à la Fontaine de Fontestorbe, intermittente du spectacle.
Nous laissons notre matériel de camping à la maison du garde, grâce à la clef prêtée par Jeanne. vu l’heure nous mangeons avant de descendre.
Nestor part avec Eric vers notre chantier. Je m’occupe de David et Elodie avec l’aide d’Alain et de Jeanne. Pas de pbs d’appréhension au dessus du P15.
Belle ballade dans la galerie concrétionnée ; cette cavité mériterait l’appellation « Minervois ».
Poursuite de l’initiation dans un petit réseau de puits. En fin d’après midi je raccompagne nos deux initiés. Nous avons rajouté un fractio « plein vide » manière de corser la pratique technique. Alain pousse même la malice à le rendre impossible à passer pour Elodie (pb de taille et de poids pour une boucle inexistante). Avec un peu d’aide elle s’en débrouille parfaitement. Pas de pbs non plus pour David qui, s’il le désire, est quasiment prêt pour des sorties d’explo normales.
Je retourne aider nos 2 creuseurs. Le méandre ou Mayou avait cru percevoir un courant d’air il y a quelques années est bouché par nos tirs précédents.
Nous creusons surtout pour nous retrouver et lui faire plaisir. Lui qui a arrêté la spéléo il y a quelques années à la suite d’un malheureuse histoire de saucisse grillée sur un feu de brindilles mêlées de déchets de « paille » (limaille de fer et surtout poudre noire…)
Bref nous creusons pour creuser !
Le soir nos amies ariégeoises nous préparent un véritable festin : cèpes du jour, magrets, crêpes à volonté… On reviendra !
Nuit calme ; les loirs qui avaient perturbé notre repos l’an dernier ont du hiberner.
Le lendemain Claire, Sybille et Edouard nous retrouvent pour le même parcours d’initiation. Avec le même problème sur le fractio impassable !
Sybille réussit même un blocage inédit dans les manuels techniques.
Equipement de sortie par le 2° accès (puits d’une trentaine de mètres).
Sybille et Edouard subissent le débourrage sans se plaindre. Ils peuvent maintenant passer 90% des configurations techniques rencontrables.
Fin d’après midi de dimanche au fond du méandre. Un tir d’un seul trou a fait un travail considérable. C’est mon tour de creuser. Je pousse des blocs, passe dans une petite cloche. Une lame horizontale m’empêche d’aller plus loin mais je vois nettement un laminoir pénétrable avec un probable passage amont. Et un léger courant d’air ! Mayou n’avait pas halluciné. Destruction de la lame et des blocs avant de ressortir.
Cette perspective de progression et l’accueil ariégeois nous ramènera certainement bientôt dans la forêt de Bélesta.
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