lundi 29 mars 2021

dimanche 28 mars 2021



Dimanche 28 Mars 2021: Trou du vestiaire, Trassanel, cinquième édition.

Et oui Daniel, d’où l'interrét de ce tenir aux comptes rendus....

Cette fois ci avec les 2D (les 2 Daniels...). Énormément de monde sur la zone, vue le très beaux temps: des trailers, des cyclistes, des randonneurs. Et les derniers de mohicans du milieu spéléo sur la zone!

Environ 15 "pailles" plus tard l'on peut dire que ce "départ" commence à ressembler à un vrai trou....Ce qui est très encourageant c'est que le très bon souffle que l'on sent toute la journée n'est pas si véloce que ça. Je m'explique: vue la chaleur par moment, si ce n'était qu'un tube à vent avec les cheminées de l'Aven de Clergues, l'on pourrait s'attendre à une aspiration certaine vue l'emplacement perché. De plus une des fois précédentes l'on avait constaté une ventilation alternative, genre courant d'air de volume....

Perspective en partant après cette glorieuse avancée de....1m: un laminoir à gauche semblant bouché par la terre. Une suite présentie à droite d’où semble venir l'air. Derrière un bloc au sol qui nous cache la vue. Autant les "pailles" ont un fonctionnement fantaisiste dans du rocher peu homogéne, autant elles font des dégâts considérables dans le beaux calcaire bleuté trassanélien. Affaire à suivre. TPES:6H30.

Cette fois ci l'on a pu casser la croute sur place grâce au printemps qui s'installe.

Je n'arrive plus a insérer des photos. Vous devinez ce que je pense des gens qui gére notre blog!!!!

samedi 27 mars 2021

Les derniers mètres

Samedi 27/03/21

Trou du Vieux Lion

Participants : JLuc, Clément, Dom, Laurent

TPST : 7h

 

On devait être 5 au départ mais problème de voiture pour Romain de bon matin. Heureusement il arrive à faire passer l'info de ne pas l'attendre.

Après un passage à Font Maure, on se retrouve au Vieux Lion à 9h sous la pluie. Sous terre tout est encore sec et c'est tant mieux.

On commence par aménager le chantier du fond : chemin de ronde en pierre pour descendre au point de départ; équipement d'une main-courante et d'un balancier pour monter les gamattes sans forcer, pose de marches pour le confort et la sécurité. Tout est paré pour envoyer du lourd dans des conditions optimales, avec en prime un certain sens de l'esthétique...

Départ de la journée à 1,8m du rebord du puits artificiel et tout va s'enchainer à un bon rythme. En fin de matinée, Clément qui est sur le front tombe sur un sol nettement plus dur. Ca pourrait être une mauvaise nouvelle mais en fait la configuration vers le bas va nous sauver : il s'agit de blocs qui ont subi de telles pressions qu'ils sont facilement fractionnables au marteau burin. De la calcite s'est insinuée dans les fissures de telle sorte que ces ensembles forment des parois qui ne risquent pas de s'effondrer. Il "suffit" de casser là où on veut passer. L'exercice est physique mais la motivation est au top.

On abaisse ainsi le sol et trouvons rapidement de petits vides entre les blocs, avec parfois même quelques concrétions. L'aspect ressemble à présent trait pour trait au bouchon côté Chandelier. La paroi nord nous sert de guide et de vieilles stalagmites enfouies sous le remplissage retrouvent l'air dont elles ont été privées depuis belle lurette; le chantier raconte l'histoire géologique récente de ce coin de massif...

A la fin d'une après-midi de forçats, les blocs et graviers collés par la calcite deviennent de plus en plus libres et il est difficile d'abandonner pour remonter à peu près à temps pour le couvre feu, tellement il nous semble que chaque coup de piquette pourrait amorcer le courant d'air. La paroi s'infléchit carrément vers le nord à présent, ce pourrait être l'amorce du plafond de la galerie sous-jacente ?

Mesure en fin de chantier : nous avons atteint 3,5m de profondeur. Il ne pourrait peut être rester que 3m si on ne loupe pas la lucarne de la voûte. Les prochaines sorties seront à nouveau sous haute tension.

Malheureusement pas de photos, l'appareil est pour une fois resté dans la voiture.



 

dimanche 21 mars 2021

Dimanche 21 Mars 2021: Les vestiaire commence à s'ouvrir....Trassanel, Pech de Laure.

Retour aujourd'hui à partir de 10H avec Daniel M pour une séance quasi hivernale.

Et cette fois ci avec une efficacité technique qui change la donne: pointeroles neuves, pailles qui marchent,accus aux point.

Non stop, tant la technique des "pailles" ne nous laissent pas le temps de souffler entre deux "tirs". 13 au total, dont 11 vont vraiment bien fonctionné. Avancée de 2 bons mètres....enfin en bout de pieds. Il n'y a qu'un seuil de calcite compacte qui nous fait fuser les trous par deux fois. Le courant d'air imperceptible au début, deviens vraiment véloce et chaud dés que l'on ouvre vraiment le diaphragme. Et non seulement ça, mais semble fonctionner en inversion (courant d'air de volume?). Le début de journée et des plus agréable au niveau météo, puis les nuages arrivant, un vent frigorifiant est des plus pénible.

A la fin , je tente une tête en avant, et bien m'en prend: sous une magnifique voute cupulée un éboulis vaporeux barre l’accès à ce qui nous semble un vide assez conséquent. Et ce en direction du massif! Déjà plus rien à voir avec l'aspect brisé du "trou de la crête" proche. Il faudra confortabiliser et l'éboulis devrais être facile à travailler....La suite au prochain numéro.Qui sera le quatrième sur ce trou.

Est ce qu'un jour nous verrons ce site sans vent?!

TPES: 5H.


samedi 20 mars 2021

exercice ,formation secours

samedi 20 mars 2021

Exercice secours , grotte du cimetière

participants SCA : Alain M,Cathy,Denis ,Jean luc , Laurent,Dom

participants total 25 spéléos

Premier exercice SSF de l'année ,tous les clubs sont représentés.

Ça faisait bien longtemps qu on ne s était pas vu !

Debut des hostilités vers 10h,au passage belle réalisation du grillage d entrée.

Chaque équipes préparent son atelier , il est vrai que cette cavité se prete bien à l entrainement , à la pédagogie et offre une belle visibilité pour nos CT.

Vers 13h , la pause repas s impose ,pic nic et saucisses... 

L après midi est consacré au passage de la civière par un petit cheminement et les 3 ateliers,traction ,balancier et tyrolienne.Un très jolie parcours qui permet de se remettre en tete les differentes techniques.

Petit debriefing ,post sortie de civière.

Une très agréable journée , dans une très bonne ambiance.

La grotte du cimetière a bien rempli son rôle de cavité école.

Pas de photos ,dommage , il y en aurait eu des sympas


 

dimanche 14 mars 2021

Mauvais sort et exorcisme par les ondes

Samedi 13/03/21

Réseau du Chandelier + Trou du Vieux Lion + Trou des Salamandres

Participants : Denis, Boris (Chandelier TPST 9h30); Steve, Dom, Clément (Salamandres TPST 1h30 et Vieux Lion TPST 5h); JLuc, Laurent (Vieux Lion TPST 6h30)


Une aube flamboyante se lève sur une de ces journées dont on sait par avance qu'elles seront riches, pour le meilleur ou pour le pire. Après plusieurs semaines de baisse des niveaux hydrologiques, il est temps de remettre le couvert pour une nouvelle tentative de communication intraterrestre Vieux Lion - Chandelier.

Tout a été préparé, discuté, planifié, et le répit météorologique atteint aujourd'hui son apogée avant une reprise annoncée des conditions hivernales.

Boris et Denis, marathoniens désormais récurrents du Chandelier, entrent sous terre à 9h30, impatients de voir si le réseau est praticable jusqu'au fond.

Une autre équipe composée de Steve, Dom et Clément, nouvelle recrue motivée du club, partent au trou des Salamandres pour familiariser Clément aux agrès et récupérer les cordes en place, avant de nous rejoindre au Vieux Lion.

JLuc et moi descendons au VL à 11h pour faire un état des lieux du tunnel après la crue et sortir quelques gamattes le cas échéant. La cavité post-crue est magnifique, propre, luisante et sèche.

Equipe de pointe Chandelier prête au départ

Dans le Chandelier, l'eau a fortement baissé et il ne faut plus nager qu'à un seul endroit, sur quelques mètres. Le III et le IV sont secs, et la vasque siphonnante ayant arrêté l'équipe à quelques centaines de mètres du fond lors de la précédente virée n'existe plus.

Le niveau d'eau a bien baissé dans les gours du I (traces de niveau max bien visibles à droite)

Progression dans le II

L'équipe de pointe ultra light atteint le terminus de l'affluent du Vieux Corbeau en un nouveau temps record, 2h45.

Pendant ce temps au Vieux Lion, avec JLuc nous avons dégagé le fond du tunnel, les effondrements ont été très limités. Il est midi vingt quand j'entends le signal d'appel, les premiers coups de marteau venant de l'autre côté du bouchon.

L'ARVA et la radio sont allumés. L'appel par les ondes reçoit une réponse fort et clair. Cris de joie des deux côtés, c'est la première fois qu'on va pouvoir communiquer autrement que par des codes au marteau.

Mais la joie est de courte durée : l'ARVA placé au début du chantier au même endroit que lors de la mesure des 8,4m refuse obstinément de descendre sous les 13m. L'espoir est encore là car il faut à présent tester le tunnel. Pourtant les choses empirent très vite : non seulement les valeurs ne diminuent pas en allant vers le fond, mais elles augmentent significativement : 30m au bout du tunnel !

La joie a laissé place à la stupeur et au silence des deux côtés. On vient de prendre une grande claque...Tout nous passe par la tête, ce sont ces p....ns d'appareils qui déconnent, ou alors l'ogre de Sault se paye notre tête, quelle haute prétention de croire qu'on pouvait ainsi l'apprivoiser. On vient de percer un tunnel de 7,5m et déplacé 10 mètres cube de sédiments en 6 séances absolument pour rien...Punition pour notre impatience !

Il faut quelques minutes pour reprendre la pleine conscience de la situation et analyser rationnellement les éléments en notre possession. On reteste la base des puits puis l'ancien fond pour se débarrasser des doutes perturbateurs, mais tout nous ramène toujours au point-clé du début du tunnel. Il ne reste que la solution du bas mais l'appareil augmente les distances quand on l'oriente vers le sol. Ces dernières baissent à l'inverse quand l'ARVA est pointé vers le haut. Un vrai casse-tête.

Heureusement il y a la liaison radio. Nous mettons en place rapidement une série de tests d'orientation synchronisée qui commence à donner des résultats. Le décryptage des signaux va durer une quarantaine de minutes mais nous parvenons in fine à déterminer précisément le point ainsi que l'angle d'attaque dans le sol. La lacune au point faible n'est plus que de 7,8m, avec une inclinaison à 60° dans une direction bien établie du sol.

Une fois de plus nous retombons sur le calcul topographique initial, au mètre près dans le calcul des dénivellations. Tout concorde à nouveau des deux côtés du chantier malgré l'improbabilité de l'emplacement de cette jonction, sous une croûte de calcite uniforme, et l'absence totale de signes observationnels. L'espoir revient, merci la radio sans qui tous ces tests auraient été impossibles...

 

La zone de jonction vue côté Chandelier

ARVA en place au niveau du bouchon (côté Chandelier)

Les renforts arrivent à ce moment-là en haut du puits. Dom demande des nouvelles. Je réponds :

- "Il y en a une bonne et une mauvaise"

- "C'est quoi la mauvaise ?"

- "On a creusé le tunnel pour rien"

- "Et la bonne ?"

- "On est vraiment trop forts en topo"

Avec les renforts il y a notre arme secrète en la personne de Steve, qui est venu pour en découdre : 

- "7,5m à creuser seulement ? C'est par où ?"

La vidéo suivante se passe de commentaires et donne un aperçu des quelques heures qui vont suivre cet échange :

L'équipe du Chandelier s'est également remotivée et creuse en remontant. Les travaux sont entrecoupés de mesures de distance à l'ARVA, qui baissent à vue d'oeil. On passe rapidement sous les 7m. Mesure suivante une heure plus tard : 6,4m... Encore une heure plus tard : 5,8m...

L'euphorie à présent a repris le dessus, cette fois on est sûrs de la tenir cette jonction...

Le travail redouble par le Chandelier

Extraction d'un verrou

Dans le puits artificiel creusé depuis le Vieux Lion, on sent les vibrations  des coups de pied de biche arrivant de dessous. Vers 15h, les piles de la radio du fond rendent l'âme, mais elles auront fait le job. Denis et Boris font demi-tour à 16h mais nous continuons encore un peu par le VL en se relayant. Clément prend ses marques avec la désobstruction, il arrive à un moment clé de l'exploration du massif.

Nous descendons encore de 80cm avant l'heure de la remontée, le puits fait environ 1,8m et la lacune n'est plus que de 5m avant la jonction, dans du terrain meuble. L'affaire de quelques sorties.

Le puits creusé en moins de quatre heures côté Vieux Lion

Avant de partir je jette un regard au "tunnel de l'impatience" qui restera comme le témoignage de la différence entre logique humaine et logique d'un karst polyphasé situé au niveau d'une faille majeure. Encore une bonne leçon !

L'histoire du jour ne s'arrête pas là. En suivant la tradition des retours de désob par le Chandelier, Boris et Denis trouvent un nouveau réseau dans le IV, 15 m en diaclase puis obstacle à équiper avant...un grand vide avec perte de faisceau lumineux à 20 ou 30m. Peut être un fossile...

Puis en suivant la logique du grondement sourd entendu pendant la crue, à la charnière III - IV, la visite du passage en question s'arrête sur un bon trou souffleur, semblant s'élargir ensuite. Le Blau ?

Le IV regorge de suites à explorer, et il sera bientôt accessible en 30mn. Tiens,on est à nouveau impatients !

Traditionnel débriefing nocturne à la sortie du Chandelier, détente, rigolade et convivialité après ces heures sous tension. Le genre de moment qui soude pour de bon une équipe...

samedi 6 mars 2021

Carrefour de Sault

Samedi 6/03/21

Perte du Pas des Brebis - sortie solo

TPST/ES : 6h

 

Pour optimiser la pause forcée au Vieux Lion, retour sur un secteur central du plateau vers lequel pointent, suite au traçage, tous les indicateurs. Une perte stratégiquement placée pas loin de l'aplomb supposé de la divergence souterraine Font Maure - Blau...

Perte localisée

Cela fait quelques années que je surveille l'évolution des lieux, et après la méga-crue de janvier 2020, il fallait y retourner, pour sans doute constater que c'était encore plus bouché qu'avant...

Mais à contrario, la transformation est plutôt positive : un point d'absorption annexe s'est un peu élargi et a avalé pas mal de flotte sans saturer. Pourtant au niveau karst c'est ce qu'on trouve de plus moche en surface : des marnes de différents étages se côtoient, tout ça sous plusieurs mètres d'alluvions anciennes. Pas l'ombre d'un bloc de calcaire. Tout se passe sous couverture.

Un pari vraiment contre intuitif, mais le karst possède ici sa propre logique qui se contrefout de l'aspect esthétique, et puis après le succès de la Vernouze dans une roche considérée comme un aquitard, la logique en a déjà pris un coup. De plus un phénomène de cette ampleur dans un coin aussi improbable n'est certainement pas là par hasard...

Il faut d'abord dégager l'accès inextricable au soutirage :

Accès au trou avant

Accès au trou après

Ensuite élargissement à la piquette pour tenter de dégager feuilles et branches coincées au point bas.

Début creusement

A bout de bras, les débris végétaux s'enlèvent assez vite, et rapidement je sens un flux amical parcourir le passage. Le test à la fumée est éloquent  : un bon courant d'air parvient à traverser ce bouchon, malgré la faible amplitude thermique !

La terre meuble du début fait place à une argile sèche et indurée, gavée de dragées de quartz et galets de gneiss : les alluvions du paléo-Rébenty, qui sont là depuis un à trois millions d'années selon les auteurs. Cet encaissant est suffisamment dur pour conserver un passage ouvert pour l'eau sans se reboucher. La question est à présent de savoir l'épaisseur de la chose et s'il y a du calcaire dessous.

Changement de sol. Jusqu'à quelle profondeur ?

La quantité de travail est sans doute très importante, mais nous avons un nouveau jalon ventilé sur le chemin de l'eau souterraine et de l'immense réseau qui se cache là dessous.


En deuxième partie d'après-midi, prospection détaillée dans un rayon proche, avec quelques résultats :

- un autre soutirage consécutif à la crue de janvier 2020, bien caché sous les branches non loin de la perte actuelle, montre également une bonne ventilation dans le même sens.

- un biseau calcaire non mentionné sur la carte géole pointe localement à travers les sols alluvionnaires jusqu'à quelques dizaines de mètres du point d'absorption de crue (du coup il n'est vraiment pas là par hasard)

- plus à l'ouest, s'alignent quelques dolines géantes d'effondrement ou de soutirage dans les marnes.

Grosse doline de soutirage dans les marnes sur l'axe présumé du réseau

 

Samedi 6 Mars 2021: Le "vestiaire" ou l'on grignote.Pech de Laure, Trassanel.

Retour avec Daniel M, seul dispos du jour pour continuer notre "grignotage" de cailloux.

Sur les 4 pailles utilisées, 2 seulement fonctionnerons. Because de nouveaux des problème de batteries...

Heureusement que le fabuleux calcaire trassanélien dur et cassant ce fissure bien, et reste très réactif  à nos furieux coups de massette. Là on fait non pas dans le désob "bio", mais mieux dans la traditionnelle style mines du 17ème siècle!: des trous dans le cailloux pour l'affaiblir, puis coup de burins dans les trous...Spécial dépense de calories! Et comme l'on a repris l'option de ne pas manger sur place, on pourrais rebaptiser ce départ: trou du jeeune...pas des jeunes, il ne faut pas exagérer! On aurait pu manger sur place, car en fait la météo est idéale, sans un gramme de vent. En fin de séance l'on sait que l'on a bien fait d'y revenir: une splendide voute cupulée plongeante  vers le gras du massif......crache un air chaud peu perceptible en début de séance....L'hypothèse du porche effondré donnant accès à un niveau de galerie prend de plus en plus forme. Ce trou diffère bien du "trou de la crête". Alors que ce dernier très tectonique à flanc de montagne laisse penser au tube à vent supposé avec les cheminée de l'aven de Clergues, ce nouveau trou pourrais bien être ce niveau fossile que l'on soupçonne dans ce secteur.

Affaire à suivre. TPES:5H.

Avis aux amateurs. Désob de surface plaisante tout à fait compatible avec les contraintes horaires du moment.

Pas de photos vraiment intéressante.




lundi 1 mars 2021

trassanel 2, initiation

Dimanche 28 février
Participants : Eléanore, Timothé, Clément, Manu, Coch, Daniel, Steve, Romain

Une équipe fort sympathique ce dimanche à Trassanel.

Tout le monde était content d’être là, motivés, intéressés. Amusement pour les plus jeunes, et découverte de la quincaillerie pour les plus grands.

Le passage des étroitures se fera en tout sérénité, avec la délicatesse d’un félin (il se reconnaîtra).

Nous sommes descendus directement par le 2, arrivés à la cantine, création par Steve d’un petit atelier corde pour Clément. Nouveau membre du club, il s’en sort aisément et redemande un tour de manège.

Pendant ce temps, direction le 2 bis pour le reste de la troupe.
On cherche, on tourne et retourne, on monte on redescend, impossible de retrouver la fin du réseau. Les enfants qui ont été étonnement sage, (si si) commencent à s’impatienter, nous abandonnons les fistuleuse et les racines. Steve, Clément nous rejoignent et pourront avec Coch aller jusqu’au bout.
Petit coucou à l'ours puis retour à la réalité vers 15h30. Après 5h sous terre environ, accueillis à la sortie par Daniel M. et Henri.
Merci à tous d’être venus, une chouette journée dans une des plus belles grottes de l’Aude.