vendredi 28 juin 2013

chaude soirée....fraiche...
EXCELLENT STAGE:
Que des cordes!!!

Denis aime les pendules....
Avec un peu de retard....mes impressions du stage perf du CDS du week end dernier:
Mme la trésorière
24 participants:9 femmes,15 hommes et 13 stagiaires pour 11 cadres....le grand luxe à ce niveau là!
une spéléo sachant nouer.....
Pour une fois....météo paradisiaque le 22 à notre chère falaise de Roquefeuil,qui nous revoit tous les ans.
3 générations
Comme cette fois ci,l'on à garé les véhicules au village,le papy propriétaire du champ devant la falaise,nous rend une visite.....sans nous menacer de sa canne!Tous les ateliers sont équipés avec une grande variété de situation,pour tous les niveaux.Je m'occupe plus particulièrement de deux de nos nouveaux: Sophie et Denis,que m'a chaudement recommandé notre président...Et il ne c'est pas trompé:ils n'ont jamais touché de cordes statiques....et ce débrouillent rapidement comme de vrai spéléos!!Comme il y a pratiquement autant de cadres que de stagiaires....l'on peu faire de la formation de qualité,sans avoir à courir à droite à gauche....et faire péter l'oeil partout....c'est reposant!A propos de faire péter l'oeil,l'on frise quand même le pépin,quand je fait partir un gros pavas,sous un genévrier mort,dans la partie ouest surplombante,heureusement moins fréquentée.Il faudrait passer une consigne plus claire destinée aux équipeurs:purger systématiquement (avec la corde dans le sac...évidemment)....surtout en falaise,et dans les zones peu fréquentées.Et là ce n'est pas le spéléo qui parle....mais l'équipeur de voies d'escalade!
Christelle et Hervé
Belle soirée conviviale à la maison forestière,avec notre barde occitan Marty (Alain....pas l'autre!),et notre ancêtre Papy et ces anecdotes inépuisables.
Bastien et Cédrine
Évidemment le lendemain....il pleut....mais comme l'on est 5 équipes dans les trous,ce sont de petites équipes et c'est bien sympa.Je vais à la Caudière (que je programmerait ultérieurement pour le club),l'une des plus belles découvertes de notre regretté Albert.J'encadre avec la nouvelle génération de la SSP: Bastien et Rémi...nos deux stagiaires: Julie et Cédrine:3 jeunes et deux quincas....c'est ça aussi la spéléo:le mixage des générations!Julie,toujours très appliquée,et flegme britannique aidant,nous équipe parfaitement la première partie au dessus du "tunnel"albérien (8M ouvert à l'explosif),puis Cédrine prend le relais pour la suite,assisté par Bastien qui à pris une corde supplémentaire.Casse croûte dans la deuxième salle,puis visite de ce trou majeur du plateau jusqu'à la jonction amont-aval.Je fait remarquer à Rémi,que le très bon souffle que l'on sent sur l'aval peu inciter à y refaire des explos...!!Remontée sans problèmes,à part quelques souffrances pour Julie au début du tunnel.....qui n'a pas vraiment été bien élargis...pour une classique!TPST: 4H40
Séverine
Nettoyage du matos dans le canal devant chez Jean Géraud ( "l'Age"),par une météo automnale voire hivernale.....bien trop cours ces stages d'un week
Denis et S
ophie
end!
Pas de photos sous terre....oublie de l'appareil à cause du mauvais temps.

mardi 25 juin 2013

Sortie Photo-Vidéo du Dimanche 23 Juin 2013

GROTTE DU CALEL

Rédaction de la fiche : Alain Faure
Participants : SCA : Alain et Solange Bondouy, Véronique Rieussec, Alain Faure, Olivier Coquelet, Isabelle Mad, Cathy Jacquiri - SRSASR : Sylvie Pélissier, Frédéric Mouynet, Jean-Paul Calvet, Jean-Charles Pétronio.
TPST : 6 h
Photos : Olivier Coquelet

On enchaîne donc le lendemain par une nouvelles sortie dans cette grotte en allant vers la partie active, le ruisseau coule bien aux dires des locaux. De belles séquences au passage avec de superbes coupes de galeries en banquette. On atteint la grande salle Lacordaire. De l'autre côté vers l'aval on franchit une étroiture pour aller voir une belle cascade. Sur le retour quelques explications encore de Jean-Paul sur des vestiges de murettes en terre, trous dans des planchers supportant des poutrelles ... On ressort vers 16 h, le temps est toujours gris.
Superbe week-end sous terre et enrichissant, on est tous un peu usés mais enchantés.
Merci aux collègues de Sorèze pour leur guidage, leur patience et à Jean-Paul pour toutes ses explications.
 
 
 








 

Sortie Photo-Vidéo du Samedi 22 Juin 2013

GROTTE DU CALEL

Rédaction de la fiche : Alain Faure
Participants : SCA : Alain, Solange et Bastien Bondouy - Véronique Rieussec - Olivier Coquelet - Alain Faure ; SRSASR : Frédéric Verp - Jean-Charles Pétronio - Jean-Paul Calvet - Fabrice Desamis - Julien Le Colère ; Alain Malric.
TPST : 7 h
Photos : Olivier Coquelet
Après un passage au local du club nous prenons la piste du plateau au-dessus de Sorèze. Temps pourri, il fera meilleur sous terre.
Nous allons d'abord dans les parties terminales de la galerie archéologique où les vestiges de l'exploitation minière sont les mieux conservés (mines de fer datant environ de 1000 à 1100 ans après JC).
Marches d'escalier, pont, coups de pioches et d' herminettes, traces de torches, dessins représentant les mineurs, emplacement des calels dans les parois, foyer ... sont les plus flagrants; leur vision est enrichie par les commentaires clairs et précis de Jean-Paul. Comme dans le Métro ici aussi beaucoup de boue, un terrain excessivement glissant. Les mineurs de l'époque étaient vraiment de sacrés spéléos. Beaucoup d'enfants travaillaient également dans ces chantiers.
Pour finir démonstration de brûlage des lampes à graisses et éclairage aux torches.


dessin représentant un mineur



sur le rocher zone martelée avec dedans un petit bonhomme

2 personnages tombent depuis la banquette que l'on voit sur la gauche dans le puits dessous où se trouve un autre mineur

dessins en haut à droite



lundi 24 juin 2013

Sur le chemin des bogues


 Samedi 23 juin 2013
Présents : Jean Claude, Jean Marie, Jean Pierre (l’après midi)
          La météo étant peu favorable à la ventilation du trou de la Dent, Jean Marie décide de se rabattre sur un conduit ouvert depuis quelques années en haut du ruisseau de Matarnaude. C’est un endroit stratégique car il doit correspondre au mystérieux affluent des châtaignes, qui débouche dans le réseau de Matarnaude. C’est une hypothèse logique car les rares châtaigniers du secteur sont situés dans le lit du ruisseau, une centaine de mètres au dessus.
          Malgré la température peu favorable, le trou est bien ventilé et permet d’évacuer rapidement les fumées. Le boyau fait une quinzaine de mètres de long et à deux ou à trois, impossible de sortir les déblais. Nous allons les stocker sur le côté, en attendant des jours meilleurs. Une paire de mètres sera ainsi gagnée dans la journée.
          En milieu d’après-midi, Jean Claude, récemment arrivé de Turquie, est secoué par une révolution gastrique. Tremblant et affaibli, il est contraint de rejoindre le véhicule pour une petite sieste réparatrice.
          Malgré cela, nous continuons le déblaiement et achevons de remplir toute la place disponible dans la petite galerie. Au bout, une petite surprise : la configuration change. La faille horizontale que nous suivons depuis le début du creusement arrive à son terme. L’air arrive par une fissure  qui canalise un écoulement d’eau. Elle ne fait que quelques centimètres de large mais elle plonge vers le bas. Quatre mètres avant, sur la gauche, des crevasses beaucoup plus importantes semblent suivre le même cheminement. L’air circule là aussi abondamment. La route pour la continuation de la désob est ainsi toute tracée et devrait avancer rapidement. Il faudra quand même des volontaires pour évacuer la totalité des déblais à l’extérieur.
          A bientôt sur le chemin des bogues.



CR Explo du Week End

Dimanche 23 Juin 3013
Trou de la Pause
Participants : Jean Michel et Laurent
TPST : 8H

Nous revoici à la poursuite du courant d'air dans le coeur du massif. Arrivée tôt (8H30) sur la zone lourdement chargés pour une dure journée. On ne regrettera pas l'extérieur de toute façon, il fait nuit en sous bois tellement le temps est pourri !
Le trou a retrouvé son régime d'aspiration...hivernale. Non ce n'est pas une erreur mais c'est inédit pour un début d'été.

En tout cas c'est bon pour nous et ça va décupler le rendement. On décide d'aller à l'essentiel et de négliger les quelques aménagements prévus pour l'instant (pétardage de gros blocs au milieu du passage). Arrivée au fond sans encombres à part une bonne suée, ça commence à être loin...

On s'active sur notre lucarne terminale jusqu'à la mi-journée. Un trou dans le sol permet un stockage sur place et rapide. On ouvre le passage alors qu'il reste encore de l'autonomie dans l'accu.

Arrivée comme prévu dans le conduit que nous avions aperçu il y a deux semaines. il s'agit d'un véritable trou de serrure formé de la jonction de la conduite par laquelle on est arrivés avec le surcreusement en méandre inférieur ou s'était engagé Michel.

C'est rectiligne, toujours plein Est. Il y a  des banquettes le long du conduit fossile qui témoignent de l'abandon progressif de celui-ci : contre la roche un placage de galets et de sable, et au dessus une couche d'argile crémeuse scellée par une mince pellicule de calcite. On avance d'une bonne dizaine de mètres, on pense arriver à un coude mais non, c'est un authentique bouchon de calcite qui barre le passage. Ce ne sont pourtant pas les concrétions qui nous étouffent d'habitude sur le massif !

On voit un petit trou noir au dessus de la coulée, c'est étroit. Il faut faire un choix : se résigner à attendre la prochaine sortie pour avoir l'autonomie nécessaire et finir les aménagements prévus au retour, ou tenter quand même d'avancer le chantier en pointe. On tombe vite d'accord : on va chercher le perfo et on continue au fond !

Grâce à une petite astuce je parviens à percer plus loin que prévu. Le résultat est à la hauteur : une lucarne plus importante s'ouvre dans la coulée, on voit nettement le conduit se poursuivre derrière. Je passe la tête dans les concrétions : super zef dans les oreilles !
Ca va nous motiver; on se relaye à la massette pour casser ce qui reste de calcite. On s'épuise mais on y arrive : ça passe...

Le méandre se poursuit, toujours pénétrable. On y est debout. Il décrit de grandes courbes sans changer de direction. On avance d'une bonne vingtaine de mètres, élargissement...

On arrive au pied d'un éboulis stable de très gros blocs corrodés. La morphologie a changé, le méandre a disparu. Jean Michel monte et découvre une rotonde en hauteur. Ici malheureusement pas de calcite pour sceller la boue; la crème dessert tapisse le sol... Pendant ce temps je m'avance dans le bas où c'est propre car le surcreusement a tout nettoyé. Nous butons sur le même chaos mais le zef à tendance à monter. En fouillant on découvre une lucarne avec vue sur un vide de plusieurs mètres, mais il faudra éliminer un bloc de 200kg pour passer. La suite sera pour la prochaine fois...

Sortie du trou fin d'aprem bien crevés, mais avec du nouveau à chaque fois en ce moment...
Après une centaine de mètres d'un conduit horizontal (depuis le bas de la grande salle) aberrant étant donné le pendage du massif, il y a donc du changement qui se profile mais toujours autant d'interrogations. Au programme de la suite des réjouissances : aménagements devenus à présent nécessaires de quelques passages dans le méandre au vu de l'engagement de la cavité puis pistage du courant d'air dans le chaos terminal. RDV en Juillet...

Viviane et Yves : Débuts d'une grande histoire.!

Aven Yves

Samedi 15 juin 2013
participants : Viviane, Jean-Marie, Sylvain
TPST :  11h, 10 m de première ( en 2 fois!)

Enfin du beau temps pour une sortie à l'Aven Yves! Je ne suis même pas sur déjà connu ça...
                                        Le regard du spéléo déterminé!


Entrée vers 10 h et cap sur la salle de la tyrolienne pour notre premier objectif, un méandre repéré avec Henri lors de la découverte de la salle et revisité avec Guillaume il y a deux ans.
                                         L'outillage du parfait désobeur....

Pendant que Viviane récupère de ses efforts sur une des "terrasse" de la salle, je m'engage dans le méandre, armé jusqu'aux dents, et suivi par JM qui découvre la bête...Ici au moins, rien n'a changé depuis deux ans. Le bouchon de terre sèche est toujours la et laisse passer au dessus, sur 10 cm, un léger courant d'air soufflant. Après une petite période d'acclimatation, le chantier se lance et avance rapidement (tout est relatif!). La terre, une fois n'est pas coutume, bien sèche, se décolle à grands coups de boulettes bien dodues et seul le gymkhana  pour faire passer la gamate sous mon corps, maintenu en lévitation, épaules contre paroi, se révèle ardu, la position étant vite propice aux crampes...

Pause déjeuner et on s'y rejette. C'est alors que JM nous sort la phrase du jour : " Viviane, t'as déjà fais du méandre?" Il n'en fallait pas tant à Viviane, toujours avide de découvertes pour se lancer. Celui la est vraiment coriace avec forte déclivité, peu de prises et passages aériens obligatoires. La descente est déjà compliquée et Viviane s'interroge déjà pour la remontée...

Côté terminus, après une heure de plus, le bouchon saute et je m'engage, un peu optimiste sur les chances de pouvoir me retourner derrière. Certes, c'est un peu plus grand mais pas assez et surtout deux mètres plus loin, re-belote, nouveau bouchon de terre du même acabit avec vue sur 3 m supplémentaires, là aussi du même style. Retour laborieux en marche arrière, et agrandissement pour que le scientifique du groupe au gros ventre puisse venir donner son avis. Le méandre part au Nord et vu son pendage, il est bien probable qu'il communique avec celui remontant depuis le bas de la galerie principale, juste avant de s'engager vers la salle de la Tyrolienne.

S'en suit  alors pour Viviane alors la délicate remontée du méandre, tirée d'un côté par sa longe, poussée de l'autre par ...ce qui se présente. çà passe!

Et commme il lui reste de l'énergie, on se dirige vers notre second objectif, au le point bas de la salle dans une petite poche remontante, propice à une belle escalade. Pendant que Jean-Marie s'amuse à jonctionner avec la salle de la Tyrolienne et à tourner en rond, j'attaque la première partie de 3-4 mètres jusqu'à un plancher de remblais finement recouvert de calcite.



                                             Première partie de l'escalade, arrivée au faux-plancher
 
 Jean-Marie me rejoint et nous décidons de poursuivre la grimpette vers l'extrémité de la salle, plus propice à une progression rapide. Environ 6-7 mètres au dessus du plancher, j'atteins une lucarne donnant sur une petite poche...close. Etonnament, elle ne correspond pas avec le reste de la salle... Il conviendra donc de revenir à l'occasion, même s'il est fort à parier que le résultat soit le même.




                                     Viviane prend son matos en photo..



Après ces amuses-bouches, le plus dur reste à faire, remonter. Viviane, bien escortée, accuse un peu le coup à mi-parcours, dans l'enchainement des ressauts à l'équipement parfois un peu chaotique, auquel s'ajoute une difficultée manifeste à trouver dans quelle boulette de terre se trouve chaque matériel! On s'inquiète légèrement, mais à coups de courtes échelles, de prises manuelles, d'escalades humaines, de tirages de longes et de lait concentré, elle regagne sans faiblir le bas du P40 qui n'est alors plus qu'une formalité...le tout sans jamais s'affoler, et dans la bonne humeur. Félicitations!

 
 Déjà en pyjama                                       Un peu moins frais...


Le bilan de l'explo reste maigre, mais il convenait de vérifier ces dernières possibilités de continuation dans ce secteur. Malgré la modeste progression, agréable désob et escalade.
Sortie vers 21h et remonteé du 4*4, sans pousser! Bonne journée!

dimanche 23 juin 2013

Stage perfectionnement à Bélesta les 22 et 23 juin 2013

Voici juste quelques photos de la journée d'hier en falaise à Roquefeuil. Laurent, les enfants et moi ne sommes restés que la journée d'hier. Un compte rendu complet sera publié par les membres SCA qui sont restés les deux jours.






mercredi 19 juin 2013

Mardi 18 Juin 2013: Du trou trou....et encore du trou trou...

Sur la sollicitation de Madame le Maire de Villardebelle Mme Falcou,je vais l'après midi avec Patrick,voir un trou qui viens de s'ouvrir...Résultat des intempéries....ou de la dessiccation par les fortes chaleurs qui on suivit?Sans doute les deux...une entrée c'est ouverte dans le talus de la  D129,un peu en aval du terrain de sport du village,coté ouest...Enfin l'attrait de l'inconnu est de nouveau là.....après 7 Mois d'hyper planification blogesque...il était temps!Mme Falcou,nous montre le trou,qui est une belle conduite forcée plongeante,mais très boueuse.Le calcaire dolomitique n'est présent qu'a - 3,sous une belle couche de terre et de marnes.L'on gratouille coté gauche au fond,mais manifestement tout est bien colmaté vers les -8M.Il y a quelques années,avec Hervé,j'étais allé voir un trou de ce style que on lui avait indiqué,dans le champ au dessus,un peu plus au nord;Il doit bien il y avoir des conduits karstiques dans cette zone.....mais bonjour les remplissages!Croquis d'explo levé sur mon carnet de prospection.Les responsables de l'entretient des routes...peuvent reboucher.Il serait judicieux,et j'en fait part à Mme le Maire,qu'il coincent des gros blocs à -3M,dans le départ de la conduite forcée,pour y créer un bouchon solide.....afin de prévenir un phénomène du style Misségre,ou la dissolution en profondeur sape régulièrement la surface!
Un collaboration sympathique des spéléos à la sécurité publique;
Ensuite,pour faire découvrir les détails du massif à Patrick,petite tournée à différentes entrées misségroises....histoire de ce familiariser avec le GPS: l'aven inattendu en face de la vallée de la Pouzanque(M2),le trou de la Mouishouzo(M1).Départs très bien situés,car dans le prolongement théoriques de l'aven Yves.Montée à Valmigére pour y rencontrer Mme le maire (Mme Fouquet),pour la remercier pour le conventionnement de l'aven des mosquitos....mais elle n'est pas là.Coup d'oeil à l'entrée du trou,ou le mince espace libre au dessus de la dalle en béton....souffle vraiment bien!D'où maintenant que l'on peu le faire, l'intérêt de rouvrir ce trou.Pour finir coup d'oeil à la Galine et au Berger distrait.
alliance minérale et végétale
Du pain sur la planche à Misségre!

mardi 18 juin 2013

Rapport roc de Nitable


Pour ceux que ça intéresse, le rapport final de la grosse opération de traçage de Février dernier sur le massif du Roc de Nitable, en collaboration avec les étudiants de Toulouse, est sorti.

Il est consultable sur le site du club via ce lien :
 
Conséquence concrète de cette étude; un important trou souffleur a été découvert et est en cours de désob sur le massif. Suite aux pluies de début Juin, il ne souffle malheureusement plus pour l'instant, preuve de sa relation avec un siphon temporaire. Prochaine sortie prévue dans quelques semaines tout au plus, lorsque l'air sera réamorçé...
 
Autre lien dans le registre scientifique mais sur un autre lieu, un article transmis par Etienne sur le projet d'exploration de Font Estramar par un robot, signé Henri Salvayre : http://www.lindependant.fr/2013/05/06/une-mer-sous-terre-a-explorer,1751876.php
 

Rallye des Hautes Corbières : retour aux sources

Samedi 15 Juin 2013
Participants du SCA à l'encadrement de l'atelier "grimpe" : Jean-Luc, Julie, Hervé, Alain, Laurent
Participants du SCA à l'encadrement du rallye enfants : Denise  et Christelle

Pas moins de 17 ans après l'inauguration du premier rallye des Corbières sur la commune d'Albières, l'équipe était de retour sur place ce samedi pour un nouveau challenge. Alain et moi étions les seuls rescapés de l'époque pour le club mais la bande de potes que nous faisions avec les grimpeurs s'est bien vite reformée.

Le succès de cette manifestation, véritable institution dans le coin, n'a pas fait défaut puisque 58 équipes de 4 personnes se sont inscrites, et qu'il a fallu stopper les demandes prématurément.
Nous n'étions pas moins de 14 personnes pour l'encadrement des ateliers falaise et pont de singe.

Au programme, 12H de boulot et de concentration, dans un cadre d'une beauté à couper le souffle, mais aussi de franche rigolade et d'anecdotes poilantes, cloturées par un apéro géant.

Pour le rallye enfants, 7 activités réparties sur 4 km de parcours  : pêche, secourisme, atelier musique, poney, athlétisme, VTT, corvée d'eau. Deux participants SCA au rallye enfants : Eloïse et Alexandre.

Quelques photos de cette journée mémorable :






l'équipe 3 du rallye enfants avec Alexandre et Eloïse