mardi 12 septembre 2023

Abîme de Rabanel (Caussenards 2023)

Samedi 9 septembre 2023
TPST : 1 h 30
Participants : Félix, Alary, Gilles, Vincent 

Nous arrivons vers 10 h sur le rassemblement dans l'adorable village de St-Jean de Buèges, retrouvons Dominique et Jean-Michel qui restent au village et vont visiter les stands et voir les amis.

En route pour nous quatre vers l'aven de Rabanel… Enfin déjà le parking de Coupiac qui contient 5 voitures d'après les indications reçues avec les topos… Bingo il reste une place ! Nous avons choisi la bonne cavité, car il y a vraiment foule au Grelot (tout le monde n'aura pas pu y rentrer !) mais aussi au Garrel d'après le nombre de voitures… et les fiches d'inscription (il y aura 400 personnes au repas le soir ! Heureusement que tout le monde ne vient pas dans les trous !)

Après une marche aiséee sur un chemin bien tracé dans la garrigue, nous grignotons rapidement à proximité du gouffre... pendant que trois spéléos entament leur descente.

Premiers 25 mètres en plein jour pour rejoindre un palier qui ouvre sur un puits nord plus adapté à la remontée et un sud moins fractionné qui nous tend les bras pour descendre.

Alary part en éclaireur dans ce gouffre si large qu'il n'y a d'ailleurs pas franchement besoin d'éclairer !

On peut descendre jusqu'au fond sans la loupiotte (n'est-ce pas Félix ?)

Quelques bons fracs plus loin, nous poursuivons la descente contre une roche bien humide et glissante avant de trouver un vrai bon plein gaz d'une petite cinquantaine de mètres qui nous dépose à - 110 mètres sur un vaste éboulis.

Non sans mal car purée ça ne descend pas fort ! Ø 10,5 c'est abusé… mais pas les c… de mettre en 0 quand même !

D'en bas, la lumière du jour est encore bien visible. Classe !

Nous dévalons ensuite l'éboulis pour remonter vers la salle Robert de Joly. 

Les volumes du gouffre en jettent c'est certain bien plus que les rares concrétions peu développées et "éteintes".

Nous descendons jusqu'au P25 terminal qui n'est pas équipé. Nous avons bien une corde mais pas d'amarrages et devons remonter l'éboulis jusqu'à entamer l'ascension par le puits nord qui se grimpe allègrement sur une paroi sèche ou presque.

1 commentaire:

Jean Michel a dit…

Je l'avais fait tôt le matin et un rayon de soleil arrivait au fond. Simplement fantastique !